- Explore Lil´ Sweet Haven .'s board "La Nuit de la Poésie", followed by 903 people on Pinterest. See more ideas about illustration art, art, moon art. Le jourLa brise du matinSouffle au bout des paix se chatte allaiteLes petits de la rat devient regard hagardEt le papillon moroseSe posent sur la train repasseSur les mêmes rails belle toile!L'homme porte un nom,La femme porte un porte le deuil?La nuitLa neige sent bonEt sa blancheur devient de la poète reçoitLa gifle de l'aquilonEt le Haïku ville s'endortSous la lune du soleil s' pluie arroseLa tête du chien qui dortEt le rêve père et le filsRêvent encore de la mère est jalouse.
Etle portique de la plage. Maman m'a dit : « Ce n'est pas permis ! Et puis tout ça, Madeleine Le Floch Illustration Récitation Posture Intonation Volume . Voici ma main Voici ma main, Elle a cinq doigts. En voici deux, en voici trois. Le premier, ce gros bonhomme, C’est le pouce qu’il se nomme ! L’index, lui, montre le chemin, C’est le second doigt de la main. Entre l’index
Publié le 30 septembre 2017 par Fée des écoles Le jour et la nuit Quand on se dit "bonjour"Que les enfants courentVers l'école pourJouer dans la courC'est le la lune luitQue les chats sont grisQu'on est dans le litAu calme et sans bruitC'est la Albaut Télécharger le-jour-et-la-nuit-corinne-albaut-GS-CP-CE1-CE2
Poème Le Soleil et la Lune, Juliane LE GALLES. Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à titre gratuit. Retour à l’accueil de Poésie Française. Nos autres univers : Les Grands
46 poèmes <23456Phonétique Cliquez pour la liste complète éléis élidé élis élit élu éludé élue élues élus élut élût hâla hâlai hâlais hâlait hâlas hâlât hâle hâlé hâlée hâlées hâles hâlés héla hélai hélais hélait hélas hélât ... À M. Louis de Ronchaud I Regardez-les passer, ces couples éphémères ! Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment, Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Font le même serment Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent Avec étonnement entendent prononcer, Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent Et qui vont se glacer. Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît Aime et meurs ici-bas ! » La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc, et mourez ! II Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile Quand un charme invincible emporte le désir, Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile A frémi de plaisir. Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; Nous entendons sa voix et le bruit de son aile Jusque dans nos transports. Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie Pâlir au firmament les astres radieux, Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie, Leur lien pour les cieux. Dans le ravissement d'une éternelle étreinte Ils passent entraînés, ces couples amoureux, Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte Un regard autour d'eux. Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; Leur espoir est leur joie et leur appui divin ; Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe Leur pied heurte en chemin. Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire S'ils mouraient tout entiers ? Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l'entrevoir, de s'écrier C'est Elle ! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour. Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour ! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t'émouvoir, Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! » Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Éternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, Vous oubliez soudain la fange maternelle Et vos destins bornés. Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères En face du néant. Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. » La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles Luiront sur vos tombeaux. Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ; La fleur que vous brisez soupire avec ivresse Nous aussi nous aimons ! » Heureux, vous aspirez la grande âme invisible Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; La Nature sourit, mais elle est insensible Que lui font vos bonheurs ? Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor. Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, Et vous laisse la mort. Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus ; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L'Infini dans vos bras ; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l'Humanité future Qui s'agite en vos seins. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains. Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours à votre main mourante Elle échappe déjà. Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; Il aura sillonné votre vie un moment ; En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu ! Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime, Et pardonnez à Dieu ! L’Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1843 votesAlors j'avais quinze ans. Au sein des nuits sans voiles, Je m'arrêtais pour voir voyager les étoiles Et contemplais trembler, à l'horizon lointain, Des flots où leur clarté jouait jusqu'au matin. Un immense besoin de divine harmonie M'entraînait malgré moi vers la sphère infinie, Tant il est vrai qu'ici cet autre astre immortel, L'âme, gravite aussi vers un centre éternel. Mais, tandis que la nuit marchait au fond des cieux, Des pensers me venaient, graves, silencieux, D'avenir large et beau, de grande destinée, D'amour à naître encor, de mission donnée, Vague image, pour moi, pareille aux flots lointains De la brume où nageaient mes regards incertains. — Aujourd'hui tout est su ; la destinée austère N'a plus devant mes yeux d'ombre ni de mystère, Et la vie, avant même un lustre révolu, Garde à peine un feuillet qui n'ait pas été lu. Humble et fragile enfant, cachant en moi ma flamme, J'ai tout interrogé dans les choses de l'âme. L'amour, d'abord. Jamais, le coeur endolori, Je n'ai dit ce beau nom sans en avoir souri. Puis j'ai soudé la gloire, autre rêve enchanté, Dans l'être d'un moment instinct d'éternité ! Mais pour moi sur la terre, où l'âme s'est ternie, Tout s'imprégnait d'un goût d'amertume infinie. Alors, vers le Seigneur me retournant d'effroi, Comme un enfant en pleurs, j'osai crier Prends-moi ! Prends-moi, car j'ai besoin, par delà toute chose, D'un grand et saint espoir où mon coeur se repose, D'une idée où mon âme, à qui l'avenir ment, S'enferme et trouve enfin un terme à son tourment. »Élan mystique Poèmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 208 votes<23456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Nile jour ni la nuit par Luc Larochelle aux éditions Triptyque. Tout le catalogue. Tout le catalogue; Univers Enfant; Livre; Ebook; Instruments de Musique; Musique; DVD & Bluray; Jeux vidéo & Consoles; Arts et Loisirs Créatifs; Fournitures Scolaires; Jeux de

BLOC NOTE LITTÉRAIRE par Chou Blanc La poésie inoxydable » Sans doute influencés par notre rubrique sur La légende de l’homme vert …… Dans la légende de l’homme vert Mémé Marthe disait en conclusion – Je te rappelle que le Bon Dieu est le créateur du ciel et de cette terre où la nature, n’est ni plus ni moins, que son habit du dimanche…. et l’homme vert son tailleur…! – » Alors Mémé, c’est du cousu main depuis des siècles et des siècles..! » ….. nos contributeurs sont venus engraisser La Chouette » de leurs contributions comme – Cette photo originale de cet arbre à figure humaine – Ce tableau de Jep Papy avec ces trois symboliques arbres dans la nuit et le jour…. frappés par une lumière céleste…. Pour être à la hauteur de leur participation, j’ai souhaité leur donner un texte de Jules Supervielle 1884-1960 qui était un poète et écrivain français né en Uruguay. Musique d’ambiance vous ne pouvez pas les écouter en même temps c’est dommage AU CŒUR DE L’ARBRE Chant d’oiseaux Arbres dans la nuit et le jour Candélabres de la noirceur, Hauts-commissaires des ténèbres, Malgré votre grandeur funèbre Arbres, mes frères et soeurs, Nous sommes de même famille, L?étrangeté se pousse en nous Jusqu’aux veinules, aux ramilles, Et nous comble de bout en bout. A vous la sève, à moi le sang, A vous la force, à moi l?accent Mais nuit et jour nous ressemblant, Régis par le suc du mystère, Offerts à la mort, au tonnerre, Vivant grand et petitement, L?infini qui nous désaltère Nous fait un même firmament. Nos racines sont souterraines, Notre front dans le ciel se perd Mais, tronc de bois ou cœur de chair, Nous n’avançons que dans nous-mêmes. L’angoisse nourrit notre histoire Et c’est un même bûcheron Qui, nous couchant de notre long, Viendra nous couper la mémoire. Jules Supervielle, poète français 1884-1960 PAPY VIDEO ET SON BONUS DU JOUR – PAPY SONG – – RADIO SYLVESTRE – Chou Blanc

17févr. 2017 - Découvrez le tableau "Le jour et la nuit maternelle" de Laëtitia Dubois sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème maternelle, thème espace, nuit. Posté à 19h26 le 24 Feb 20 PASTICHE SUR LE SONNET ET LA MER ET L'AMOUR » De Pierre de MARBEUF ET LE JOUR ET LA NUIT Et le jour et la nuit ont un commun langage, Et le jour est à jour et la nuit ne nous nuit, L'on se vautre en plein jour, comme on veille à minuit, Car de jour ou de nuit tout est apprentissage. Celui qui s'alanguit le matin à l'ouvrage, Celui qui oeuvre aussi au degré de l'ennui, Qu'il en chasse les maux comme Belle de Nuit, Et ses mots sur l'esprit goûteront l'arbitrage. Qu'il soit bonheur-du-jour ou bien secret de nuit, Sachons dire bonjour à l'orée de la nuit, Pour que mieux vivre vieux on puisse apprendre à vivre. Si un éclat de jour embrase néanmoins La folie de mes nuits, sans ennui tout au moins, Mes nuits seront mes jours qu'un clair obscur enivre. ANDRÉ ___________________ SONNET ORIGINAL de Pierre de MARBEUF 1596-1645 ET LA MER ET L’AMOUR ONT L’AMER EN PARTAGE Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau, Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux, Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes. Posté à 09h58 le 25 Feb 20 Coup de cœur pour le pastiche , Et curiosité pour ce poéte, Oublié en tout temps,mort peu riche J'applaudis poète et l'interprète Toujours sensible à ...-l'image- Elle m'est sublime illustration, Chacune d'Elle enrichit le bagage De l enfance au besoin d'illusions Bien sympathique ce MARBOEUF, Temps d' abîme sociétal, où "" Allez donc vous faire cuire un oeuf"" Était la réplique tant banale … Ancêtres, probes et vénérés Dites moi, je vous en supplie, Ce poète, par ANDRE révélé Raie de soleil aurait procuré Comme une radieuse embellie ! """""Pierre de Marbeuf 1596-1645 est un poète baroque français du XVIIe siècle. Né à Sahurs, il fait ses études au collège de La Flèche et vit à Paris de 1619 à 1623. Il étudie le droit en compagnie de Descartes. Auteur de sonnets baroques et du Recueil de vers publié à Rouen en 1628, il met en œuvre les thèmes de la nature, de la fragilité de la vie et de l'amour. Maître des eaux et forêts, ce qui peut expliquer la présence récurrente de la nature dans son œuvre, il est apprécié non seulement pour ses qualités de poète, mais aussi pour ses talents satiriques.!!! Bravo et merci , Posté à 11h02 le 25 Feb 20 MERCI pour ce commentaire chaleureux, très agréable à recevoir et à apprécier, ARCANE. Le pastiche étant une "imitation" en forme d'exercice de style, la posture ludique est à privilégier. Son enjeu concerne la reconnaissance par le lecteur d’une idée de la poésie susceptible de nous faire reconsidérer les œuvres de la tradition et de nous interroger sur les conditions de lecture à des époques différentes. Cela suppose une certaine connaissance des œuvres et du style de l'auteur d'origine dont il ne faut surtout pas trahir ni le mode d'expression, ni l'originalité. J'essaie de respecter ces consignes, de manière à ce qu'on puisse reconnaitre, dès une première lecture, l'auteur pastiché et identifier le poème. Je te sais gré pour tes vers en concordance avec le schéma de ce pastiche, et te remercie bien sincèrement pour la dernière strophe dans laquelle tu me cites de manière bienveillante. Très bonne journée à toi et BISOUS marseillais. ANDRÉ Posté à 11h55 le 25 Feb 20 Bonjour André, pasticheur de génie arpenteur de pâtis discoureur à ses heures toujours de bonne humeur... voilà un joli pastis pas du tout délayé, Posté à 21h45 le 25 Feb 20 Bonsoir KERDREL, Je suis "coureur des mots" quand les vers et le verbe S'associent pour flatter dans l'élan de l'humeur, Tout ce que l'engouement peut forger de superbe, Et que les sentiments rendent le plus charmeur. MERCI !!! ANDRÉ Posté à 10h53 le 26 Feb 20 Si de la poésie on fait l'analyse, La forme et le fond vont de pair, Dame musique chante et la courtise Superbe trio ne saurait s'abstraire De célèbres poètes j'ai fréquenté, F. Villon et sa tragique balade, Verlaine et sa tristesse poétisée Rimbaud? amours masculines refusées ! "Coureur de mots", je vous l'accorde Ces derniers se présentent en vainqueurs Entre amour,bonheur,guerre et discorde Et bien d'autres plus arnaqueurs! Sont fins, compliqués ou futés ! Par espièglerie vous échappent, Courez vite pour les rattraper Pcht ! Ils ont sauté la contrescarpe ! Bonjour d'Arcane Ce message a été édité - le 26-02-2020 à 1055 par Arcane Posté à 19h47 le 26 Feb 20 Il me semblait avoir dans mes archives un texte qui pourrait aller ici...mais la pile est trop grosse et je ne le retrouve pas.. Bon je vais voir En tout cas, bravo pour ton envoi... Posté à 19h51 le 26 Feb 20 Bonsoir ARCANE, Si de la poésie on fait l'analyse, La forme et le fond vont de pair, Dame musique chante et la courtise Superbe trio ne saurait s'abstraire C'est bien poésie, la musique et la peinture ont pour fonction de charmer l'oreille, d'enchanter l'esprit, de représenter les sons, imiter les couleurs, rendre les objets visibles, palpables. Il faut aimer les mots, "courir après eux", souvent, pour exprimer les idées et les sentiments, pour extérioriser les expressions, les émotions et donner des "images" au langage. MERCI pour tes impressions favorables et pour l'intérêt que tu as porté à ce nouveau pastiche. BISOUS ensoleillés de Marseille. ANDRÉ Posté à 19h59 le 26 Feb 20 Bonsoir TONIN, C'est que tu dois en avoir, toi aussi, différentes formes de poèmes dans tes recueils. Je connais ce genre de problème, et il m'arrive de passer de longs moments pour mettre la main sur un thème ou un procédé pour donner suite à un topic. En tout cas, ce sera, comme tu t'en doutes, un grand plaisir que de découvrir et de commenter ton œuvre, dès qu'elle sera mis en ligne. MES VIFS REMERCIEMENTS pour tes positives impressions ! ANDRÉ Ce message a été édité - le 26-02-2020 à 2001 par Laugierandre
Horairede nuit, horaire de jour. Ont dû tricher pour faire l’amour. Monsieur le Jour aime Madame la Nuit. Mais il ne peut la retrouver. Qu’au crépuscule pour l’aimer. Quand le soleil rouge se couche. Le jour, la nuit enfin se touchent. Madame la Nuit, Monsieur le Jour. Ont peu de temps pour faire l’amour.
Entre le jour et la nuit,Le crépuscule s'éteintEt l’aurore s’allume ;La braise devient cendreEt la flamme, rêve se lève matin,La vie sommeille au le jour et la nuit,Le printemps a fleuriLes blancheurs de l’hiver,La chaleur de l'étéCoule dans la sueurDes feuilles de l’automneQui pleurent avec le le jour et la nuit,Le silence murmureDans la forêt profondeOù l'écorce est l’amourMais l’arbre n’est que haine,Où le fruit est vertu,Mais la racine le le jour et la nuit,La source va à la mer,L’oiseau chante dans le ciel,Et toi tu viens à moiQuand le soleil, la luneEffacent de leur éclatLe sombre le jour et la nuit,C’est entre moi et moi,Le loup avec sa rage,L’agneau tremblant de peur,L’enfant aux milles visagesQui tète encore sa mèreEt joue dans la le jour et la nuit,C’est les soupirs des cœursAssoiffés de folie,C’est la mort qu’on oublieAu péril de sa vie,C’est le temps qui s’enfuitDevant l'éternité.
Le 26/08/2022] Représentations - Source évènement et illustration : Toulouse Métropole / ColomiersMardi 24 janvier 2023, 00h00En quelques mots : Petit Théâtre du CentreDescription : On a pu l’applaudir sur la scène nationale d’Albi ou dans certains festivals.Naïma Chemoul, [Le 26/08/2022] Représentations - Source évènement et illustration : Toulouse Métropole
Juste avant l’aubeLa nuit prie encorePour que tarde le jourPar nature si promptA en découdreAvec l’obscuritéComme on le saitJamais la nuitN’entend mourirOn l’entend parfoisS’adresser au jourEn lui disantPar pitié ralentisMais il ne veutPas obéirIl avanceIl avanceTout combatContre la lumièreEst une guerrePerdue d’avance Tp0lhnO.
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