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18juil. 2018 - Edward Hopper : Maison au bord de la voie ferrée. 18 juil. 2018 - Edward Hopper : Maison au bord de la voie ferrée. Confidentialité . Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont
Publié le 12 oct. 2012 à 101Il y a quelques peintres, très peu, dont le répertoire s'est inscrit dans la mémoire collective. Pour l'angoisse existentielle, on citera Le Cri » de Munch, pour le glamour devenu icône, la Marilyn » de Warhol, pour l'absurde de la pipe qui n'en est pas une, Magritte... Pour la solitude urbaine, c'est le peintre Edward Hopper qui vient à l'esprit. Du moins chez les amateurs d'art... En effet, il n'est pas sûr qu'en France le grand public connaisse son patronyme. Il a des circonstances atténuantes puisque la seule exposition qui ait montré Edward Hopper dans notre pays date de 1989 et elle se tenait à Marseille. Mais voilà que le tort est réparé puisqu'à Paris le Grand Palais accueille en majesté le maître américain avec 128 rétrospective est signée d'un conservateur du Centre Pompidou, Didier Ottinger, qui a imaginé une exposition intellectuelle ». Autrement dit, il ne s'arrête pas à une compilation d'oeuvres célèbres, comme cela semblait le cas dans l'exposition de 2004 à la Tate Modern de Londres. Il met en place, dans la grande tradition française, une théorie qui cherche à élucider les images Hopper. Et c'est ainsi que le plus célèbre des artistes modernes américains prend un petit accent voyages à ParisEdward Hopper est né en 1882 dans l'Etat de New York, issu d'une famille de la middle class ». Il fait des études d'art à New York et pour subvenir à ses besoins, à partir de 1905, devient illustrateur dans une agence de publicité. Magritte et Warhol ont commencé leur carrière en faisant de même. La bonne école pour concevoir un message efficace. En 1906, puis en 1909 et en 1910, il se rend à Paris qui est alors l'épicentre mondial de la création. Les impressionnistes le fascinent et il adopte leur palette de couleurs tout en élisant des sujets de la modernité américaine moyens de locomotion et fêtes enseigne une chose importante la verve Hopper est très précoce. Une des premières toiles montrées au Grand Palais est là pour le montrer. Young Woman in a Studio » et Solitary Figure in a Theatre », des peintures réalisées dans les années 1901 à 1904 en noir, gris et un peu de blanc plongent le spectateur dans la solitude des salles vides et permettent de s'identifier au seul humain présent sur la toile. En 1906 et 1909, Hopper peint Paris et il conservera toute sa vie ces oeuvres dans son studio. Sa vue du Louvre, et plus précisément du Pavillon de Flore, c'est déjà du Hopper pur jus ». Par le point de vue, car il représente seulement le coin du bâtiment. Par la lumière aussi, écrasante, qu'il a postée sur l'immeuble et qui lui donne une forme 1914, il peint un monument » de la peinture mondiale Soir bleu ». Au bord de la mer, sur une terrasse bordée d'une colonnade, il représente sur une toile toute en longueur une série de personnages attablés. Parmi ces gens normaux », une sorte de Pierrot au visage grimé, habillé de blanc. On ne peut s'empêcher de penser que c'est lui le clown. La solitude de l'artiste face à la société. Hopper doit encore travailler dans la publicité pour subvenir à ses besoins. En 1925 enfin, ses efforts et sa singularité sont reconnus. Une série d'aquarelles est vendue avec facilité et un collectionneur influent, Stephen C. Clarck, fait l'acquisition de House by the Railroad » dont il va faire don plus tard au MoMA de New York. La Maison près de la voie ferrée », c'est cette grande maison américaine typique dont Hitchcock va s'inspirer dans Psychose ». Le peintre peut désormais se consacrer entièrement à sa Ottinger insiste sur le fait que Hopper entretient un sentiment de nostalgie vis-à -vis de l'Amérique du passé. Ainsi le corpus de son oeuvre ne contient qu'une seule vue de gratte-ciel et encore, est-elle coupée... La nostalgie et la mémorisation de scènes qui sont vouées à la destruction... C'était la préoccupation partagée par un grand photographe français, Eugène Atget 1857-1927, qui a immortalisé systématiquement un Paris en voie de disparition. Dans un entretien daté de 1956, Hopper confie à son propos Il y avait quelque chose dans sa façon de photographier. Quoi qu'il en soit, les photographies ne sont pas encombrées de détails, on n'y voit que l'important. »Sans fioritureComme le photographe, le peintre est un obsessionnel des lignes de fuite, des constructions géométriques et des compositions sans fioriture. Son premier biographe, Guy Pène du Bois, raconte que l'épouse du peintre -Jo, son principal modèle -avait fait l'acquisition d'un col de dentelle et qu'il était allé jusqu'à le lui racheter afin qu'elle ne le porte plus. Il explique encore qu'il lui avait fallu des années avant qu'il puisse se résoudre à peindre un nuage dans le ciel. En 1933, le MoMA de New York célèbre Hopper en organisant sa première rétrospective. Edward va devenir le porte-drapeau de la nouvelle peinture la recherche de la lumièrePourtant la théorie de Didier Ottinger est bien qu'il résiste à cette nouvelle identité yankee. Il ne montre pas des usines en marche, mais une gare déserte. La salle de spectacle, ça n'est pas l'euphorie mais la solitude de l'ouvreuse. En 1953, l'artiste déclare Le grand art est l'expression extérieure de la vie intérieure de l'artiste qui s'incarne dans sa vision personnelle du monde. » En 1927, il peint Drug Store ». Explication de Didier Ottinger la devanture du magasin, barrée par une publicité pour un laxatif, est une référence à la société de consommation américaine qui souffre d'un la dernière partie de sa vie, Hopper va très fréquemment peindre ces personnages installés sur des fauteuils, dans sa ville de Cape Cod, et qui prennent le soleil. A la recherche de la lumière. C'était la quête d'Edward lire le hors-série illustré sur Edward Hopper », publié par Connaissance des arts ». Retrouvez le blog de Judith Benhamou-Huet sur L'exposition en images sur
Noubliez pas de prendre en photos vos réalisations et de nous les partager sur Facebook ou sur centresocial@mairie-athis-mons.fr. Bonnes créations, L’équipe du Centre Social Éclaté PAYSAGES URBAINS : LE STYLE EDWARD HOPPER ATELIER TUTO 14 JAN. 2021 SYLVIE POISSON DESSAUT LE PAYSAGE URBAIN Pour des raisons de droits de reproduction d’images, les photos des
Edward Hopper "Maison au bord de la voie ferrée", 1925 J'avais fait un article sur le peintre Edward Hopper 1882-1967, et j'avais parlé d'une manière générale de ses œuvres. Ce que l'on sait moins, c'est que l'artiste américain était un passionné d'architecture. Enfant, Hopper voulait être architecte naval. S'il n'exercera pas cette profession, il se passionnera toute sa vie pour les bateaux, la mer, mais aussi pour l'architecture. Il va réaliser de nombreux croquis de bâtiments lorsqu’il était à Paris. Le peintre aimait beaucoup Paris. Dans les années 1920, il se fit connaître par ses aquarelles de belles maisons mansardées du 19e siècle. Son tableau "Maison au bord de la voie ferrée" est peut-être l'un des plus célèbres. Les maisons d'Hopper étaient le plus souvent isolée, désolée, voire même inquiétantes. Aujourd'hui, lorsque l'on voit une maison seule au milieu d'un grand terrain il n'est pas rare de penser aux peintures d'Edward Hopper. Les fameuses maisons d'Edward Hopper vont d'ailleurs inspirer beaucoup de cinéastes. Alfred Hitchcock pour son film "Psychose" s'inspirera du tableau de Hopper "Maison au bord de la voie ferrée" la maison de Norman Bates ressemble à s'y tromper à celle du tableau. Les bâtisses "à la Hopper" continues d'inspirer et de fasciner. Le peintre représentait les bâtiments et les maisons à différents moments de la journée afin d'observer les effets de la lumière. Les ombres avaient aussi leur importance. Dans ce sens il se rapproche des impressionnistes qu'il avait découverts lors de ses séjours à Paris. Voici une sélection des maisons Hopper.
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