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Aucunhomme ne lui en a donnée une et ça continue de me choquer. Comment l'avez-vous imaginée? C'est assez facile à imaginer car aprÚs Bécassine il y a eu Tintin et les dessins des deux
Le silence est de mise depuis la sortie de ValĂ©rie Trierweiler de l'hĂŽpital samedi part un simple tweet, la PremiĂšre dame reste silencieuse sur son RTL affirme ce matin, que ValĂ©rie Trierweiler, qui se repose en ce moment Ă  la Lanterne pourrait bien accompagner François Hollande aux radio affirme"Selon l'entourage de la premiĂšre dame, le couple prĂ©sidentiel n'a pas encore pris de dĂ©cision sur l'avenir de leur François Hollande l'a promis il doit clarifier la situation d'ici le 11 fĂ©vrier prochain et son dĂ©placement aux l'heure actuelle, le chef de l'État ne sait pas encore s'il s'y rendra ses proches, ValĂ©rie Trierweiler est, de son cĂŽtĂ©, encore disposĂ©e Ă  accompagner le prĂ©sident aux Etats-Unis." DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec et ca continue encore et encore sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : Chvrlesch(@chvrlesch), JapMiata34(@japmiata34), Choses intĂ©ressantes(@savoir_interessant), Vinyl Factory(@vinyl_factory), LeĂŻla's FamilyđŸ„°đŸ˜(@tokyo8476), iris’istible(@iris_istible_), Je chante, je chante du soir au matinJe chante sur mon cheminJe chante, je vais de ferme en chĂąteauJe chante pour du pain et je chante pour de l'eauAu poste, d'autres moustaches m'ont dit Au poste Eh, l'amiC'est toi le chanteur, c'est toi le vagabond ?Ton compte est bon, on va t'enfermer » C'est pas moi, non » C'est lui vous crĂ©e des ennuis ? C'est votre mari ? »D'abord vos corps qui se sĂ©parentT'es seule dans la lumiĂšre des pharesT'entends, chaque fois que tu respiresComme un bout de tissu qui se dĂ©chireEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordL'instant d'aprĂšs, le vent se dĂ©chaĂźneLes heures s'allongent comme des semainesTu te retrouves seule, assise par terreÀ bondir Ă  chaque bruit de portiĂšreEt ça continue, encore et encoreMmh, c'est que le dĂ©but, d'accord, d'accord[Refrain]Y a des couples qui se dĂ©fontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneLa mĂȘme nuit que la nuit d'avantLes mĂȘmes endroits deux fois trop grandsT'avances comme dans des couloirsTu t'arranges pour Ă©viter les miroirsEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordQuelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneFaudrait qu'j'arrive Ă  en parler au passĂ©Faudrait qu't'arrives Ă  ne plus penser Ă  çaFaudrait qu'je l'oublie Ă  longueur de journĂ©eDis-toi qu'il est de l'autre cĂŽtĂ© du pĂŽleDis-toi surtout qu'il ne reviendra pasÇa fait marrer les oiseaux qui s'envolentLes oiseaux qui s'envolentLes oiseaux qui s'envolentTu comptes les chances qu'il te resteUn peu de son parfum sur ta vesteTu avais dĂ» confondre les lumiĂšresD'une Ă©toile et d'un rĂ©verbĂšreEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accordEt ça continue, encore et encoreC'est que le dĂ©but, d'accord, d'accord[Refrain]Y a des couples qui se dĂ©fontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneQuelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC'est toujours le mĂȘme film qui passeT'es toute seule au fond de l'espaceT'as personne devant, personneY a des couples qui se refontSur les lames de ton plafondC'est toujours le mĂȘme film qui passeLe mĂȘme film qui passeLe mĂȘme film qui passe 1D'abord nos corps qui se sĂ©parent, T'es seule dans la lumiĂšre des phares T'entends Ă  chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se dĂ©chire Et ça continue encore et encore, c'est que le dĂ©but d'accord d'accord. L'instant d'aprĂšs le vent se dĂ©chaĂźne, Les heures s'allongent comme des semaines Tu te trouve seule assise par 1En jeu ce qu’on accepte de risquer. On peut perdre ou gagner. 2Risquons un petit exercice qu’avons-nous pu retirer du sĂ©minaire Encore ? À quoi ça sert ? Peut-ĂȘtre qu’il ne sert Ă  rien du tout. Nous avons dĂ©jĂ  notre pratique du signifiant. Est-ce que j’accepte de la perdre pour une pratique bien plus risquĂ©e, une pratique du RĂ©el et de la jouissance ? Petit exercice que chacun peut faire est-il prĂȘt Ă  risquer ses repĂšres symboliques qui rendent dĂ©jĂ  les plus grands services ? Pour quoi ? En vue de quoi ? Je laisse chacun Ă  ses inspirations. 3Je cite Lacan qui d’emblĂ©e a proposĂ© Ă  son auditoire le lit de jouissance Je vous laisse donc sur ce lit, Ă  vos inspirations [1]. » Tenons-nous Ă  cette petite rampe la jouissance proposĂ©e par le sĂ©minaire Encore, Ă  quoi peut-elle bien servir ? L’ennui c’est que La Jouissance se dĂ©finit comme ce qui ne sert Ă  rien [2] ». Alors c’est dĂ©jĂ  fini Encore ne sert Ă  rien, ne rend pas de service pour la cure analytique ; ça n’en dit pas beaucoup plus long ». 4La Jouissance dĂ©finie comme ce qui ne sert Ă  rien » n’est pas seulement une transformation de la technique de la cure ; c’est un vĂ©ritable bombardement. Risque maximal. Tout ce qui pouvait servir est potentiellement anĂ©anti. Ce bouleversement est structurellement beaucoup plus grave que le changement d’économie psychique ou l’apparition de nouvelles pathologies. Ces nouveautĂ©s chamboulent le sens du service, mais le service y reste de mise d’une façon ou d’une autre. Avec La Jouissance, le service disparaĂźt. 5Bombardement. Et pourtant, Lacan dit plus loin On peut faire des tas de choses avec les meubles Ă  partir du moment, par exemple, oĂč l’on a essuyĂ© un siĂšge ou un bombardement [3]. » Avec les morceaux de chaises, on peut allumer un feu, bricoler, que sais-je ? 6Ça ne sert Ă  rien. N’empĂȘche, ça nous laisse une rĂ©serve, il y a des choses qui servent dans la cure, et puis il y aurait la rĂ©serve, on ne sait jamais, ça peut toujours servir. Je pointe la rĂ©serve »  la rĂ©serve de jouissance est impliquĂ©e dans le droit. Nous – analystes et analysants –, nous avons droit Ă  cette rĂ©serve ; nous faisons ce que nous pouvons, mais il y a le champ oĂč ça ne sert Ă  rien, nous ne savons et ne pouvons pas tout c’est une interprĂ©tation possible du pastout, ce n’est pas la bonne. C’est un droit que ce champ qui ne sert Ă  rien et qui s’appelle la jouissance et bien sĂ»r rien ne force Ă  aller voir dans la rĂ©serve. Nous pourrions en rester Ă  cette rĂ©serve, Ă  un je n’en veux rien savoir » qui veut dire je ne veux pas aller voir dans la rĂ©serve » et basta ; ça n’en dit pas beaucoup plus long ». 7Rien ne force Ă  tenir compte de ce qui ne sert Ă  rien sauf le surmoi. Le surmoi c’est l’impĂ©ratif de la jouissance jouis !’’ ». ImpĂ©ratif bizarre qui commande de se servir de ce qui ne sert Ă  rien ? C’est le commandement qui part d’oĂč ? C’est bien lĂ  que se trouve le point tournant qu’interroge le discours analytique [4]. » C’est tout autre chose que de garder le concept de la jouissance en rĂ©serve, dans la perspective d’en faire usage au moment voulu. Ce commandement au contraire est compact, il n’y a pas d’interstice. Avec ce commandement qui ne cesse pas de s’écrire, nous sommes introduits dans un espace connexe, d’un seul tenant. Que je sois en train de faire l’amour, en train de parler ou en train de faire un supermarchĂ©, la mĂȘme jouissance est convoquĂ©e comme ce qui ne sert fondamentalement Ă  rien. Partout se trouve le point tournant du discours analytique. Jouissance par ici, jouissance par lĂ , jouissance toujours. Soutenir la prĂ©sence d’une telle jouissance omniprĂ©sente, ce n’est pas rĂ©pĂ©ter simplement ça ne sert Ă  rien » ; c’est l’engagement dans un je n’en veux rien savoir » de ce Ă  quoi ça pourrait servir. Je veux entrer dans cette zone oĂč ça n’a aucune utilitĂ© pragmatique. C’est bien ainsi que se dĂ©finit le pratique de la Critique de la raison pratique. Comment le fonder ? Kant se sortait du paradoxal surmoi grĂące au service de l’universalitĂ© qui fait sens. Dans Kant avec Sade », Lacan avance un impĂ©ratif insensĂ©, il faut surtout que ça ne serve Ă  rien. ImpĂ©ratif catĂ©gorique qui prend toute la place et qui demande une rĂ©ponse pratique. Mais aussi impĂ©ratif insensĂ© ça part d’oĂč cet insensĂ© ? Et qui demande une rĂ©ponse dans le savoir. 8 Jouis », un impĂ©ratif compact de La Jouissance, toutes catĂ©gories confondues, de la jouissance de l’idiot Ă  la jouissance de l’Autre. Une seule jouissance donc, bien qu’on puisse et mĂȘme qu’on doive en parler de diffĂ©rentes façons nous allons voir pourquoi jouissance de l’Autre, jouissance phallique, joui-sens, et objet a qui constitue la quatriĂšme forme de jouissance. Il n’y a aucune coupure topologique dĂ©finitive entre ces quatre formes. 91. La jouissance de l’Autre. Jouis » demande une double rĂ©ponse, une rĂ©ponse savante Ă  la question de savoir d’oĂč vient cet insensĂ© surmoi et une rĂ©ponse pratique au commandement. Pour la rĂ©ponse savante Ă  la question d’oĂč ça vient », Freud avait inventĂ© la solution, ça viendrait des figures parentales ou de la sociĂ©tĂ© ; nous dirons plutĂŽt que ça vient de l’Autre, pour dire que nous ne savons pas. Ça vient d’oĂč ? On ne sait pas. Et ça va oĂč ? Pour la rĂ©ponse pratique, il suffirait donc de jouir. Allonsy, jouissons il est Ă  noter que l’impĂ©ratif n’a pas de premiĂšre personne du singulier. La Jouissance ne peut pas ĂȘtre tout simplement mienne », sans ĂȘtre au service du moi, ce sombre despote [5] » ; si elle Ă©tait mienne, elle me servirait et ne serait plus La Jouissance. Ça va donc on ne sait oĂč ; ça va pour l’Autre, c’est la jouissance de l’Autre, c’est l’Autre qui jouit. MĂȘme dans cette forme fruste de jouissance qu’est la masturbation, la jouissance est toujours jouissance de l’Autre. 102. La jouissance phallique. La jouissance de l’Autre n’est pas une pure abstraction. Elle s’incarne dans le corps de l’autre qui le symbolise ». PrĂȘte-moi ton corps pour ma jouissance et je te prĂȘte le mien pour la tienne. » TrĂšs bien ! Mais le corps jouissant pourrait ainsi servir Ă  l’autre. On est conscient de l’objection un tel Ă©change de bons procĂ©dĂ©s Ă©tablirait bel et bien un rapport sexuel de services rĂ©ciproques, de fantasmes conjuguĂ©s le conjungo. Le phallus, c’est l’objection de conscience faite par l’un des deux ĂȘtres sexuĂ©s au service Ă  rendre Ă  l’autre [6]. » Pas de service militaire ! Le phallus lĂ  ce n’est plus un symbole ou un signifiant ; c’est une fonction. Le phallus est pure relance sans point de dĂ©part, sans fonction dĂ©terminĂ©e pour le diriger, sans point d’aboutissement oĂč il pourrait servir Ă  une opĂ©ration militaire quelconque. Cela dit, le phallus comme pure relance peut ĂȘtre convoquĂ© de bien des façons a minima par le masturbateur J’ai ce qu’il faut, tout va trĂšs bien sans service » ; de façon bien plus subtile par l’hystĂ©rique Je suis dĂ©jĂ  phallique, et votre service de relance est inutile. » Mine de dĂ©fendre chacun leur jouissance personnelle, le masturbateur et l’hystĂ©rique dĂ©fendent La Jouissance en tant que telle, en tant qu’elle n’est Ă  la botte d’aucun service. 113. Le joui sens. C’est un exercice de sens d’oĂč vient ce commandement jouis ? » et oĂč va-t-il ? » Mais c’est un sens qui vient de nulle part et qui n’aboutit pas Ă  un sens ; la jouissance du sens c’est la jouissance qui, de part en part dirait-on s’il y avait des parts, de bout en bout dirait-il s’il y avait des bouts, est non-sense sans faire la part des choses. Les trois tiennent ensemble ; et si on lĂąche l’une de ces trois prĂ©sentations, on ne recouvre plus La Jouissance. 12Petite remarque sur l’amour. Nous avons parlĂ© des trois premiĂšres façons d’exposer la jouissance, et pourtant une seule jouissance, La Jouissance il n’y a pas de La barrĂ©. La Jouissance est compacte. Trois jouissances qui n’en font qu’une. Jouissance de l’Autre qui va Ă  son effacement. Jouissance du phallus qui va Ă  la castration. Jouissance du sens qui n’est qu’un point de relance dans le non-sense. Trois jouissances qui n’en font qu’une. 13Ne faire qu’un, c’est l’amour. L’amour c’est de faire Un. » Y a d’l’Un [7]. » L’amour surgit de la faille compacte, lieu de La Jouissance. Pas moyen de parler de jouissance sans parler d’amour. Lacan ironise dans la deuxiĂšme sĂ©ance parlez-moi d’amour ». Oh dites-nous des choses tendres. » Serre-moi fort », disait l’autre tout aussi ironiquement comme s’il s’agissait de resserrer les boulons
 ou les nƓuds pour voir Ă  quoi ça sert » la topologie [8]. Si Lacan ironise sur la parole d’amour, il reconnaĂźt Ă  la derniĂšre sĂ©ance du sĂ©minaire avoir parlĂ© de l’amour J’ai en effet quelque peu parlĂ© de l’amour. » Mais La jouissance de l’Autre n’est pas le signe de l’amour », revient comme un refrain tout au long du sĂ©minaire [9]. Je dois tenir Ă  la fois Ă  La Jouissance une seule jouissance et Ă  la fois au fait que ça ne fait pas un, que ce n’est pas le signe de l’amour. Ça ne peut rester Un, mais ce n’est pas non plus deux, ou trois, ou quatre. 14Comment voir cela ? Par l’exercice. 15Le tournant du sĂ©minaire l’exercice. Le point pivot du sĂ©minaire Encore, dit Lacan, c’est le savoir Sachez [10]. » C’est encore un commandement. Mais pas n’importe quel savoir, pas le savoir encyclopĂ©dique, pas le savoir du lacanisme non plus Le point pivot de ce que j’ai avancĂ© cette annĂ©e concerne ce qu’il en est du savoir, dont j’ai accentuĂ© que l’exercice ne pouvait reprĂ©senter qu’une jouissance. C’est lĂ  la clĂ©, le point tournant [11]. » Il l’avait dĂ©jĂ  dit quelques sĂ©ances plus tĂŽt La fondation d’un savoir, c’est ce que je viens de dire c’est que la jouissance de son exercice, c’est la mĂȘme que celle de son acquisition [12] » ; acquĂ©rir La Jouissance c’est l’acquĂ©rir par l’exercice. L’exercice. Le petit exercice que je vous proposais, ou l’exercice de vos inspirations sur le lit de la jouissance [13]. Ou l’exercice de linguisterie [14]. Exercice de se situer dans je te demande de refuser ce que je t’offre parce que c’est pas ça [15] ». Comme je le proposais d’emblĂ©e, il s’agirait de se permettre de s’offrir une reprĂ©sentation du service du sĂ©minaire Encore, pour pouvoir la refuser, parce que c’est pas ça. Le mot exercice » veut dire tenir en mouvement [16] ». L’exercice demande de tenir en mouvement Ă  partir du mouvement, de s’en tenir Ă  l’exercice, avec cette prĂ©tention que ça recouvre tout ; ça paraĂźt trĂšs prĂ©tentieux. Il faut – jouis » – revendiquer cette prĂ©tention Ă  recouvrir entiĂšrement le champ de la jouissance, dans ce que je dis, mais aussi dans le dire de l’analysant, de tout analysant y compris ledit psychotique. Mais c’est une prĂ©tention en mouvement qui dĂ©couvre sa propre faille. La faille du c’est pas ça » et puis la faille » qu’il faille » recouvrir entiĂšrement le champ compact de La Jouissance par un exercice dans les ouverts. 16Nous devons opĂ©rer ce recouvrement par le truchement d’un ensemble d’espaces ouverts. L’ouverture se joue dans la butĂ©e de la lettre qui relance C’est le substantiel de la fonction phallique », puis une Autre jouissance que la jouissance phallique », et s’il y en avait une autre, il ne faudrait pas que ce soit celle-lĂ  », le joui sens qui ouvre tout le non-sense. Exercice phallique, exercice de l’Autre, exercice du non-sense, un ensemble fini d’exercices Ă  condition qu’il s’agisse chaque fois d’espaces ouverts [17]. À chaque fois, il faut que l’exercice doive rater la fermeture Le dire tout rĂ©ussit, ça n’empĂȘche pas dire pas tout de rĂ©ussir aussi, Ă  condition que ce soit de la mĂȘme maniĂšre, c’est-Ă -dire que ça rate [18]. » Dire tout et dire pas tout rĂ©ussissent de la mĂȘme façon rĂ©ussissent Ă  rater le service, Ă  rater le point de dĂ©part en mĂȘme temps que le point d’aboutissement. 17Le pastout n’est pas une gentille rĂ©serve qui nous laisse Ă  un je n’en veux rien savoir » qui concernerait l’usage des propositions universelles, il n’est pas une particuliĂšre maximale. Il est au contraire l’exercice d’une universelle de surcroĂźt. Comme le proposait Rebecca Majster, il est le surcroĂźt de lecture du RĂ©el ». OĂč trouver ce surcroĂźt ? Dans ce qui est dĂ©jĂ  lĂ , dans les mĂ©moires [19] certes, mais pas dans les mĂ©moires inertes des archives poussiĂ©reuses on sait dĂ©jĂ  tout ça » ; le pastout est bien plutĂŽt dans les mĂ©moires vives oĂč le savoir continue Ă  s’inventer par l’exercice c’est ça le sens du mathĂšme ». Dire pas tout » rate aussi, c’est-Ă -dire que nous sommes poussĂ©s encore et encore Ă  dire tout », sans relĂąche pour en percevoir la faille. Le pastout est l’exercice d’un dire poussĂ© bien au-delĂ  du rangement dans l’universelle classique [20]. À partir du pastout en acte, nous n’abordons plus ici la jouissance de l’extĂ©rieur, comme une rĂ©serve dont nous prĂ©serverions le droit, mais Ă  partir de l’exercice du dire, de ne servir Ă  rien. 18Le psychanalyste semble bien ne servir Ă  rien. ExpĂ©rience commune qu’il faudrait rĂ©veiller au moment oĂč le psychanalyste commence Ă  croire qu’il sert Ă  quelque chose. Il peut croire qu’il sert Ă  quelque chose, il faut dĂ©croire Jouis. » L’analyste jouit-il derriĂšre le divan ? En tout cas, il prĂ©sentifie cette dimension pour l’exercice de la cure. Il prĂ©sentifie la jouissance de l’Autre le silence absolu, mĂȘme s’il dit quelque chose, la jouissance phallique comme objection de conscience Ă  tout ce qui pourrait ĂȘtre d’un service quelconque pour l’ĂȘtre sexuĂ© qui est sur le divan, la jouissance du sens comme l’insensĂ© qui relance le sens. Mais tout ça reste ouvert ; tout ça s’est laissĂ© Ă  la discrĂ©tion de l’analysant pourvu que l’analyste lui laisse la place. 19Comment comprendre cette ouverture nĂ©cessaire ? Pas comme un vide, pas dans le cadre d’une logique formaliste qui fonctionnerait Ă  vide. Au contraire, dans la ligne de l’exposĂ© de Jean Brini sur la logique intuitionniste, comme un Symbolique qui part d’un concret atteignable, constructible, effectivement prĂ©sent. Ainsi la phrase ce n’est pas ma mĂšre ». Il ne s’agit pas de faire fonctionner la phrase dans le cadre d’une logique classique ; et notamment il ne s’agit pas de construire l’affirmation c’est ma mĂšre » par nĂ©gation de la nĂ©gation sous prĂ©texte que ladite phrase est une dĂ©nĂ©gation comme une logique formaliste pourrait la produire. Si la logique formaliste vide la proposition de son contenu sĂ©mantique et ici affectif, c’est pour mieux la remplir de son Symbolique rĂ©duit au calcul et au chiffrage et clĂŽturer par une affirmation massive qui ne laisse aucune Ă©chappatoire C’est ma mĂšre, point final. » L’élucubration est fermĂ©e. La vĂ©ritable ouverture de nos trois façons de dire la jouissance jouissance de l’Autre, jouissance phallique et joui-sens s’enracine au contraire dans l’effectivitĂ© de la forme insĂ©parable de l’acte qui lui donne une contenance. Il s’agit d’opĂ©rer non pas Ă  partir d’un symbolique formaliste qui oublie le contenu, mais Ă  partir d’un symbolique effectif qui ne nous donne pas simplement la forme d’une dĂ©nĂ©gation, mais l’acte de dire de ce n’est pas ma mĂšre » avec tout ce qu’il comporte d’insu. D’oĂč l’impossibilitĂ© radicale de calculer une conclusion qui ferme comme c’est donc sa mĂšre ». L’ouverture est lĂ , Ă  mĂȘme l’affirmation ce n’est pas ma mĂšre » qui, dĂšs son apparition, est lĂ  sans pouvoir servir Ă  aucune conclusion, comme un dĂ©chet. 204. L’objet a. Que ça reste ouvert est garanti par ces dĂ©chets qui par dĂ©finition ne servent plus Ă  rien. Caput mortuum, disait-on dans les exercices d’alchimiste. Les scories de la mine. Qui peuvent s’amonceler en terrils. Pas seulement comme index ou constatation d’un travail de production. Il faut y aller. Mais non pas au charbon, non pas Ă  la production. Le surmoi » commande jouis » il faut y aller au dĂ©chet de toute production. C’est un exercice que de s’y prĂ©cipiter. Non pas au fond de la mine oĂč ça peut toujours servir, mais dans la fonction du dĂ©chet. La fonction de l’analyste est de s’y prĂ©cipiter, de s’y emblant, de s’emblant d’objet a. Sur quelle scĂšne ? Le lieu de cet exercice reste bien sĂ»r nos bons vieux discours. Nous avons pris le risque de mettre en jeu notre pratique du signifiant. Chaque fait de discours nous offre sa propre complĂ©tude, c’est bien pour cela qu’il peut tourner en rond sur lui-mĂȘme. Mais rencontrer l’impuissance de chaque discours Ă  retrouver sa vĂ©ritĂ©, c’est toujours rĂ©pĂ©ter l’exercice c’est pas ça ». La fonction de la lettre et de l’écrit c’est de buter sur c’est pas ça ». N’importe quel fait de discours a ceci de bon qu’il fait de la lettre [21]. » S’exercer dans la fonction de l’écrit. Se prĂ©cipiter dans l’impuissance du discours. 21Les quatre discours sont des discours de jouissance non pas en tant qu’ils produisent un produit dont on pourrait, dirait-on, jouir » le maĂźtre jouirait de l’objet, l’hystĂ©rique du savoir, l’universitaire du sujet barrĂ©, l’analyste du signifiant ; il s’agit lĂ  d’une acception de la jouissance comme ce qui sert bel et bien au petit monde du maĂźtre, de l’hystĂ©rique, de l’universitaire ou de l’analyste. C’est encore d’une telle jouissance » qu’il est question quand on parle d’un monde oĂč il faudrait jouir Ă  tout prix », c’est le contraire de la jouissance comme ce qui ne sert Ă  rien, ça sert bien aux capitalistes et consorts. Les discours sont bien plutĂŽt discours de jouissance en tant que les produits de chacun de ces discours sont de purs dĂ©chets, des scories, des capita mortuum » de l’usine, de pures lettres sans signification qui ne peuvent plus servir Ă  entretenir le discours sur lui-mĂȘme. Un pur surplus, soit un plus de jouir ». En ce sens, quatre lettres sont produites par les quatre discours a, S, $, ?. Quatre façons de dire La Jouissance qui ne sert Ă  rien l’objet a comme jouissance Ă  partir du rien, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours du maĂźtre, la jouissance de l’Autre pour autant qu’il soit barrĂ©, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de l’hystĂ©rique, le joui-sens qui jouit pour autant que le sens aboutit au non-sens du sujet, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de l’universitaire, la jouissance phallique pour autant que le phallus soit pure relance, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de l’ jouissance des formules de la sexuation22Ces quatre lettres scories des quatre discours se retrouvent prĂ©cisĂ©ment dans le tableau des formules de la sexuation [22]. Pourtant deux difficultĂ©s se prĂ©sentent ici. PremiĂšrement, Ă  plusieurs reprises, Lacan n’a retenu que trois lettres et non pas quatre a, S? [23]. OĂč est passĂ©e la quatriĂšme, $ ? DeuxiĂšme remarque dans le tableau des formules, il y a non pas quatre lettres, mais bien cinq, la cinquiĂšme lettre Ă©tant . 23PremiĂšrement $. C’est l’exercice qui met en jeu $ pour celui qui s’y risque en prenant l’audace de l’exception il existe un x non phi de x. DeuxiĂšmement ce risque insensĂ©, il ne peut le prendre que parce qu’il y a la cinquiĂšme lettre, que parce qu’il n’entre dans aucune dĂ©finition cinquiĂšme lettre ou , il n’existe pas de x non phi de x. 24Le point tournant de l’exercice, c’est le sujet barrĂ© qui se risque Ă  l’exercice de la jouissance. L’analysant ? L’analyste ? L’un et l’autre. L’analyste favorisera ce qui ne sert Ă  rien et tiendra la place de ce rien. L’analysant s’en retrouve au point tournant » que Lacan cite au dĂ©but et Ă  la fin du sĂ©minaire [24]. Le point tournant c’est le sujet barrĂ© qui se risque Ă  l’exercice ; mais c’est en mĂȘme temps le La d’oĂč part l’exercice risquĂ© c’est le deuxiĂšme tour de L’étourdit ». 25Un mur, l’amur, sĂ©pare les deux cĂŽtĂ©s du tableau de la sexuation, le cĂŽtĂ© homme Ă  gauche et le cĂŽtĂ© femme Ă  droite. Ce mur canalise le chemin, c’est-Ă -dire la mĂ©thode. Du La barrĂ© partent deux flĂšches, l’une va vers S de grand A barrĂ© situĂ© du mĂȘme cĂŽtĂ© du mur, l’autre va vers ? de l’autre cĂŽtĂ© du mur qu’il faudrait donc traverser, forcer, casser pour aboutir Ă  ?. Une femme hĂ©siterait-elle donc, tel l’ñne de Buridan, entre deux destins, l’un qui lui est propre et l’autre qui ne pourrait se produire que par un coup de force ? TantĂŽt l’un, tantĂŽt l’autre ? Posons plutĂŽt que la flĂšche qui va vers ? indique une fin et non les dĂ©tours nĂ©cessaires pour y parvenir. Le cheminement primordial est indiquĂ© au contraire par S de grand A barrĂ© et il conduit parfaitement Ă  ?, pourvu qu’on veuille bien suivre le mur qui a la forme d’une bouteille de Klein. C’est en restant fidĂšle Ă  S de grand A barrĂ© qu’une femme retrouvera au mieux le ?, et ce ? s’en trouvera heureusement transformĂ© ; la fonction phallique ne sera plus seulement une flĂšche, mais une reprise de la double flĂšche, une relance qui caractĂ©rise prĂ©cisĂ©ment ce qu’est la fonction phallique en tant que telle [25]. 26Il en va de mĂȘme pour la flĂšche qui va de $ au petit a situĂ© de l’autre cĂŽtĂ© du mur. Le fantasme articule bien les deux lettres dans la reprĂ©sentation ; mais il n’est pas possible de le rĂ©aliser sinon en passant par le parcours complet des formules de la sexuation. Impossible de forer un passage Ă  travers le mur, c’est bien plutĂŽt de nouveau en suivant le mur de la bouteille de Klein qu’un homme pourra articuler effectivement son fantasme et passer de $ au petit a. 27Une semaine aprĂšs l’exposition du tableau de la sexuation, Lacan reprend l’exercice. Comment dĂ©crire cet exercice qui est Ă  la fois celui du La barrĂ© et du $ ? Ce point tournant, Lacan ne cesse de nous inviter Ă  le pratiquer. Dans cette sĂ©ance il est prĂ©sentĂ© dans ce qu’il appelle la graphicisation [26] » c’est la quatriĂšme lettre $ soutenue par la cinquiĂšme lettre La barrĂ© qui tourne dans un triangle dont les trois cĂŽtĂ©s ne sont autres que les trois autres lettres a, S, et ?. 28Il s’agit de partir d’un angle du triangle, qui est lĂ  comme le trou du RĂ©el, par lequel s’engage le processus qui va tourner autour de La Jouissance, qui est recouverte ou encore cadrĂ©e par le triangle des trois jouissances les trois cĂŽtĂ©s du triangle. Ce trajet aller-retour Ă  partir du trou du RĂ©el dans le triangle ne tient que parce qu’il est tenu par J », c’est-Ă -dire La Jouissance. Cette boucle entrant puis ressortant par le trou mĂ©nagĂ© Ă  l’angle du RĂ©el, comment se fait-il qu’elle ne lĂąche pas ? Comment se fait-il qu’elle ne foute pas le camp ? Comment se fait-il qu’elle tienne dans l’exercice ? La boucle qui passe dans le mĂȘme vide d’un rond rĂ©el et qui ne lui est donc pas enchaĂźnĂ©e reste dans le circuit parce qu’elle est retenue par une clavette qui l’empĂȘche de sortir du trou. Cette clavette est notĂ©e, Ă  cet endroit du sĂ©minaire, comme le J de La Jouissance. C’est une premiĂšre Ă©bauche du nƓud borromĂ©en. Tout cela demanderait un plus ample dĂ©veloppement qui sort des limites de mon propos ici. On trouve dĂ©jĂ  cette Ă©bauche du borromĂ©en dans la figuration de la pulsion prĂ©sentĂ©e au cours du sĂ©minaire XI. Dans le sĂ©minaire XI, c’est l’objet a qui, Ă  la place de La Jouissance, maintient le circuit de la pulsion dans le trou. La boucle aim du circuit de la pulsion [27] ne tient dans son bord que parce qu’il y a l’objet a autour duquel elle tourne et qui la retient. La boucle qui sort du RĂ©el et qui tourne dans le triangle des trois lettres a, S et ? ne tient que parce qu’elle tourne autour de J », la substance jouissante ». 29VĂ©rifions maintenant qu’il s’agit bien de la structure gĂ©nĂ©rale qui transforme la portĂ©e du langage, de nos anciens outils symboliques que nous avons risquĂ©s dans la lecture du sĂ©minaire dire de la jouissance30 Je vais dire une fois de plus ce qui est de mon dire et qui s’énonce Il n’y a pas de mĂ©talangage [28]. » Il n’y a pas de langage qui puisse servir Ă  dire ce que sont les effets de langage. Il n’y a pas d’Autre de l’Autre. C’est dire qu’au plus haut niveau, il n’y a pas quelque chose qui puisse servir. C’est dĂ©jĂ  l’affirmation de la jouissance. Elle est lĂ  trĂšs tĂŽt chez Lacan. Rien de nouveau. On s’en rappelle Je suis Ă  la place d’oĂč se vocifĂšre que l’univers est un dĂ©faut dans la puretĂ© du Non-Être’’. Et ceci non pas sans raison, car Ă  se garder, cette place fait languir l’Être lui-mĂȘme. Elle s’appelle la Jouissance, et c’est elle dont le dĂ©faut rendrait vain l’univers [29]. » Constat. Tout est dĂ©jĂ  dit sur la jouissance, semble-t-il ; l’univers de Encore [30] n’est, de ce point de vue-lĂ , pas fort diffĂ©rent. Constat consternant. DĂ©solĂ© de ne pouvoir vous aider plus loin. 31Le dire de Lacan Il n’y a pas de mĂ©talangage n’est pas un constat ; il implique une fiction, une Ă©criture qui fait buter. De mĂȘme que le pastout n’est pas la constatation prudente d’un monde oĂč la particuliĂšre maximale rĂšgne mieux vaudrait Ă©viter les propositions universelles », mais bien l’exercice exigeant du parcours des quatre formules de la sexuation, de mĂȘme dire il n’y a pas de mĂ©talangage » implique de le faire exister, implique l’acte de faire exister le mĂ©talangage [31]. Le dire qui concerne le mĂ©talangage non seulement parce qu’on parle du mĂ©talangage, mais parce que tout dire implique la production de l’objet mĂ©talangage » n’est pas un constat – stabitat » stabilisĂ© –, mais bien un labile labitat », dĂ©stabilisant, butant scandaleusement dans son propre exercice Ă  condition de poser le point tournant qui le fait exister. 32Pas possible d’entrer dans l’exercice du dire sans un point de fixion » qui lui sert de point tournant. Mais pas n’importe quelle fixation. Comment comprendre ces points ? Il faut fixer un point pour qu’il puisse y avoir relance. Cette fixation ne pourra jamais se faire que par un coinçage dans la triple dimension du Symbolique, de l’Imaginaire et du RĂ©el. Le point n’est plus dĂ©fini par des coordonnĂ©es cartĂ©siennes mais par trois approches RSI qui coincent suffisamment pour que l’on puisse encore tourner autour. Ce point-coinçage c’est prĂ©cisĂ©ment ce qui est dĂ©jĂ  expliquĂ© dans l’ébauche du nƓud borromĂ©en telle que le prĂ©sente la graphicisation » examinĂ©e plus haut. C’est le point tournant qui sert Ă  La Jouissance, plus exactement qui sert Ă  recouvrir La Jouissance par ces ouverts que sont la jouissance de l’Autre, la jouissance phallique et la jouissance du sens joui. 33La substance jouissante », c’est prĂ©cisĂ©ment cette fiction-fixation posĂ©e pour que l’exercice de La Jouissance puisse fonctionner. C’est un oxymore la substance est posĂ©e comme ce qui ne change pas, mais en elle-mĂȘme elle est dĂ©jĂ  jouissance. Une telle substance est prĂ©cisĂ©ment ce qui doit servir Ă  tenir ce qui tient Ă  ne pas servir. Exercice sans fin. 34L’introduction de la topologie des nƓuds fait tenir ensemble par l’exercice, alors que la jouissance auparavant pouvait sembler errer dans la volatilitĂ© du pur Non-Être. Le nouveau apportĂ© Ă  notre clinique par Encore c’est l’exercice de fixions » de fixer un mĂ©talangage, l’objet a, un point tournant, de coincer le point tournant pour que se joue le pur dire qui ne sert Ă  rien [32]. Pratique du dire de lalangue c’est-Ă -dire sans service. L’analyse s’engage, s’exerce pour cette jouissance et en cette jouissance. Notes [1] J. Lacan, Le SĂ©minaire, Livre XX 1972-1973, Encore, p. 13 [2] Ibid., p. 13. [3] Ibid., p. 55. [4] Ibid., p. 13. [5] Djalal Al-Dim Al-Rumi citĂ© par Freud dans Schreber Car lĂ  oĂč l’amour s’éveille, meurt le moi ce sombre despote » OC X, p. 288. [6] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 16. [7] Ibid., p. 15. [8] Marc Darmon reprend, dĂ©plie et desserre la question en pratique, Ă  quoi ça sert » dans son remarquable article Serre-moi fort », La revue lacanienne n° 6 mars 2010, Les implications cliniques du nƓud borromĂ©en. [9] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 13-14, 63, 83, 217. [10] AE, p. 454. [11] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 217. [12] Ibid., p. 154 [13] Ibid., p. 13. [14] Ainsi que le dĂ©ploie Cyril Veken dans un article Ă©clairant “Je te demande de me refuser ce que je t’offre, parce que c’est pas ça” Exercice de linguisterie », La clinique lacanienne, n° 6, mars 2010. [15] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 193. [16] Cf. Bloch-Von Wartburg, Dictionnaire Ă©tymologique de la langue française, p. 246. [17] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 18-19. La version du Seuil a malheureusement remplacĂ© cette finitude par son contraire. [18] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 107. [19] Cf. Rebecca Majster, De la persistance d’inutilitĂ© », La cĂ©libataire, n° 20, Ă©tĂ© 2010, p. 7. [20] Je renvoie Ă  mon article Dire le pastout », Essaim n° 22, qui critique le livre de Le Gaufey, Le pastout de Lacan. [21] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 79. [22] Ibid., p. 131. [23] Ibid., p. 70, puis 151. SA est Ă  lire comme une seule lettre, de mĂȘme que S et L. [24] D’abord jouis ! » C’est le commandement qui part d’oĂč ? C’est bien lĂ  que se trouve le point tournant qu’interroge le discours analytique » p. 13. Puis Le point pivot de ce que j’ai avancĂ© cette annĂ©e concerne ce qu’il en est du savoir, dont j’ai accentuĂ© que l’exercice ne pouvait reprĂ©senter qu’une jouissance. C’est lĂ  la clĂ©, le point tournant » p. 217. [25] Cf. mon ouvrage, La relance du phallus. [26] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 148 et 151 [27] J. Lacan, Le SĂ©minaire, Livre XI 1963-1964, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, p. 163. [28] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 200. [29] J. Lacan, Écrits, Paris, Le Seuil, p. 819. [30] L’univers c’est lĂ  oĂč de dire tout rĂ©ussit Ă  faire rater le rapport sexuel de la façon mĂąle » p. 105. [31] Ce mĂ©talangage qui n’est pas et que je fais exister » p. 201 ; il me faut pourtant dire ce qu’il y a de mĂ©talangage, et en quoi il se confond avec la trace laissĂ©e par le langage » p. 203. [32] Rien ne tiendra de tout ça si je ne le soutiens pas d’un dire qui est celui de la langue, et d’une pratique qui est celle des gens qui donnent des ordres au nom d’un certain savoir » p. 204. C’est la phrase qui introduit prĂ©cisĂ©ment la topologie des nƓuds il faut faire tenir les choses par l’exercice.
Etce dans la rue, devant des enfants (de moins de 3 ans) et d'autres professionnelles, sans aucune discrĂ©tion. Pour une erreur de commande de jouet. Je peux comprendre et accepter sa colĂšre mais pas sa manifestation. Je me suis excusĂ©e pourtant et j'avais mĂȘme trouvĂ© une solution pour y remĂ©dier mais la personne a continuĂ© Ă  hurler
c'est que le dĂ©but , "c'est lĂ  oĂč j'adapte les paroles pour qu'elles changent" Ă  la place de d'accord d'accord, "donc..." je dis pas d'accord pas d'accord et lĂ  vous n'ĂȘtes mĂȘme pas Ă©tonnĂ©s... mais Quelle est notre part de connerie volontaire quand - les banques mettent au dos des cartes bleues un code qui permet de payer avec cette mĂȘme carte un peu comme..."beaucoup mĂȘme d'ailleurs" comme s'ils donnaient notre code secret ? - L'Ă©tat accorde Ă  la SNCF le droit d'augmenter les prix pour que les usagers payent les taxes d'utilisation au rĂ©seau ferrĂ© de France, "mais rappelez-moi le montant de leur chiffre d'affaire et de leur bĂ©nĂ©fice net ?" - L'EDF avait jouĂ© la mĂȘme carte le mois dernier et augmente le prix de l'Ă©lectricitĂ© pour financer les nouvelles technologies - A quand allons nous faire don de la peaux de nos morts pour que les gros maroquiniers fassent des sacs en peaux humaine ET NE CRIEZ PAS AU SCANDALE VOUS ACCEPTEZ TOUT LE RESTE qui est tout aussi humiliant et honteux - les tirants nous rendent responsables de leurs dĂ©viances et ont-ils tord ? Et bien NON, ils n'ont pas tord puisqu'on laisse tout faire, tout dire, tout envisager mon niveau de dĂ©goĂ»t est tel que je n'ai mĂȘme plus envie d'aller plus loin quand quoi avec qui et pourquoi ? les gens aiment les chaĂźnes ils vont jusqu'Ă  porter des reproductions de celles qui font tourner les roues d'un vĂ©lo, c'est dire le message !!! et ils trouvent ça beau... un jour quelqu'un m'a dit TOUT est dit... regarde Ă©lise, ils disent tout, ils montrent tout et j'ai ouvert les yeux... je vous souhaite de ne pas voir dans quel monde pitoyable nous vivons un dernier jet acide Quelle est la part de honte et de culpabilitĂ© que portent en eux les ĂȘtres qui n'envisagent pas le pardon ? rĂ©ponse terrible Ă  mon sens et ? et plus rien... non ... rien

ETLA VIE CONTINUE. 1. Tu peux me dire Ă  quoi ça sert. De refair’ la rout’ Ă  l’ envers. En ramassant sur ton parcours. Tes brouillons de roman d’amour ? Tu te croyais un cas unique. Tu te croyais original. Et puis soudain, c’est la panique. Tu te rĂ©veill’s, et ça fait mal ! Refrain : Allezvas-y, pleure un bon coup, Toutes

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Plusieursmilliers de chercheurs, d’enseignants-chercheurs et d’étudiants ont manifestĂ© jeudi 5 mars Ă  Paris contre la future loi de programmation pluriannuelle de

Mais si un finisseur de bagarre vient s’arrĂȘter devant les deux bagarreurs oncle et son nevĂ© et devant l’assistance pour ouvrir son bouce, commence comme premier parole et dit que l’oncle a raison mais le nevĂ© aussi n’a pas tord, aah vaut miĂ© vous disperser pour gagner temps car ce n’est pas ce jour que la hache de guerre sera enterrĂ©e. Au villaze les sages disent aussi woo que pour finir et bien finir une bagarre il faut casser la calebasse de bagarre. Mais la cacher et dire que bagarre est finie est Ă©rĂšr car quelqu’un peut se tromper la faire sortir. Nous ne pourrons jamais trouver des solutions solides aux problĂšmes du Burkina en prenant la somme des responsabilitĂ©s diviser par vingt millions et s’assoir nous ventiler que nous avons eu les solutions. Depuiiis que nous, nous sommes petits, petits chaque fois la mĂȘme parole phrase dans votre bouce que nous sommes tous responsables ou bien vous changez un pĂ© que les responsabilitĂ©s sont partagĂ©es. PartagĂ©es entre qui et qui ? Si vous croyez aussi que tous les burkinabĂš sont tous responsables, ya pas de problĂšme. Faites comme les lotissements au temps de Sankara Thomas. Faites monter burkinabĂš aprĂšs burkinabĂš sur une barrique au milieu de la foule ; citez lui ses responsabilitĂ©s dans chacun des problĂšme et que la personne assume les consĂ©quences. Simple ! Je dis woo les commerçants disent que c’est bon mais c’est pas arrivĂ©... En tout cas vous grouillez et bocou mĂȘme. C’est bon mais c’est pas encore arrivĂ©. Je dis woo si je pagle ils vont dire que c’est parole de fou. Sinon j’ai envie de dire par exemple Ă  nos responsables qui ont pris leur responsabilitĂ© de ne pas compter sur moi un jour pour partager leurs responsabilitĂ©s. Pour ne pas avoir des responsabilitĂ©s zuska vouloir les partager Ă  l’ensemble des 20 millions de burkinabĂš, il faut simplement qu’ils assument pleinement leur responsabilitĂ© en trouvant les vrais responsables de chaque problĂšme qui nous a conduit oĂč nous sommes aujourd’hui. Il faut que chacun des responsables assume aussi les consĂ©quences de ses erreurs. AprĂšs quoi suivront le pardon et la rĂ©conciliation. Et woalĂ  nous dans la paix de notre Burkina de avant😀 Le maçon philosophe

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