Unecarpe Koi, appelĂ©e tancho, entiĂšrement blanche avec une tache parfaitement ronde et rouge sur la tĂȘte comme le soleil levant du drapeau national nippon, peut se nĂ©gocier une petite fortune. Il existe d'autres carpes

TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article De nombreuses personnes voudraient bien savoir le sexe de leur poisson rouge. Vous pourriez vouloir le savoir pour le faire se reproduire ou simplement pour savoir si vous n'avez pas appelĂ© Georges votre poisson rouge femelle. Il est relativement facile de dĂ©terminer le sexe d'un poisson rouge, mais cela peut ĂȘtre beaucoup plus difficile si vous ne savez pas oĂč chercher. Apprenez Ă  reconnaitre les signes physiques et les comportements spĂ©cifiques qui vont vous permettre de faire la diffĂ©rence entre des poissons rouges mĂąles et femelles. 1 Faites attention aux poissons dont le corps a une forme plus ronde et plus Ă©paisse. Les poissons rouges femelles ont tendance Ă  avoir un corps plus rond et plus Ă©pais que les mĂąles du mĂȘme Ăąge et de la mĂȘme espĂšce. Elles ont aussi tendance Ă  ĂȘtre plus hautes que larges, ce qui peut ĂȘtre utile pour les identifier lorsque vous les regardez sur le cĂŽtĂ©. Lorsque la saison de reproduction approche, les femelles vont commencer Ă  dĂ©velopper des Ɠufs de poisson, ce qui va provoquer comme une bosse sur l'un des cĂŽtĂ©s et donner un air plutĂŽt asymĂ©trique Ă  la femelle [1] . 2 RepĂ©rez l'orifice anal protubĂ©rant. L'orifice anal des poissons rouges femelles est plus rond que celui des mĂąles et a tendance Ă  ressortir du corps lorsque la saison de reproduction approche. Lorsque vous regardez sur le cĂŽtĂ©, l'orifice devrait ressembler Ă  une petite bosse sur l'abdomen de la femelle. En plus de cet orifice protubĂ©rant, la nageoire anale des femelles peut sembler plus Ă©paisse que celle des mĂąles [2] . PublicitĂ© 1 Recherchez les nodules. Un des signes les plus surs qu'un poisson est un mĂąle est lorsque vous repĂ©rez des nodules de petits points blancs sur la membrane qui recouvre les branchies. En gĂ©nĂ©ral, ces nodules ne dureront que pendant la pĂ©riode de reproduction du poisson, cependant, chez certains poissons plus ĂągĂ©s qui ont traversĂ© plusieurs pĂ©riodes de reproduction, ces nodules pourraient ĂȘtre prĂ©sents toute l'annĂ©e. Ces nodules pourraient aussi apparaitre sur les nageoires pectorales, sur la face et sur les Ă©cailles sur le corps du poisson. MĂȘme si la prĂ©sence de ces nodules vous indique que le poisson est un mĂąle, son absence ne vous confirme pas nĂ©cessairement que c'est une femelle, car certains mĂąles ne portent pas de nodules [3] . 2Regardez si son corps n'est pas plus fin et plus fuselĂ©. Les mĂąles ont tendance Ă  avoir un corps plus long, plus fin et plus fuselĂ© que les femelles du mĂȘme Ăąge et de la mĂȘme espĂšce. 3Faites attention Ă  son orifice anal concave. L'orifice anal des poissons rouges mĂąles est en gĂ©nĂ©ral plus Ă©troit et plus long, ce qui lui donne une forme plutĂŽt ovale. Il sera plutĂŽt concave comme un nombril rentrĂ© plutĂŽt que proĂ©minent. 4Recherchez la prĂ©sence d'une ligne au milieu. Si cela est possible, regardez le ventre du poisson pour voir si vous y trouvez une ligne, plus spĂ©cifiquement une ligne surĂ©levĂ©e qui part de l'arriĂšre des nageoires pelviennes jusqu'Ă  l'orifice anal. Chez les femelles, cette ligne sera trĂšs claire, voire inexistante. 5 VĂ©rifiez son comportement de poursuite. Une des façons les plus sures d'identifier un poisson rouge mĂąle est d'observer son comportement pendant la saison des amours. Un poisson rouge mĂąle va poursuivre une femelle partout dans l'aquarium ou dans la mare, en restant juste derriĂšre elle et lĂ©gĂšrement en dessous, parfois en la poussant lĂ©gĂšrement par-derriĂšre. Le mĂąle va aussi essayer de pousser la femelle contre le bord de l'aquarium ou dans les plantes, pour la forcer Ă  se reproduire. Cependant, s'il n'y a pas de femelles, les mĂąles vont se poursuivre les uns les autres, c'est pourquoi il vaut utiliser des indices physiques tout comme comportementaux pour identifier le sexe des poissons rouges [4] . PublicitĂ© 1 Soyez patient. Sachez que les diffĂ©rences liĂ©es au sexe du poisson rouge n'apparaitront que lorsqu'il sera arrivĂ© Ă  maturitĂ©. La diffĂ©rence entre les mĂąles et les femelles ne deviendra Ă©vidente que lorsque le poisson aura atteint sa maturitĂ©, en rĂšgle gĂ©nĂ©rale aprĂšs un an. Cependant, cela dĂ©pendra beaucoup de l'espĂšce du poisson. Certaines espĂšces de poisson rouge arrivent Ă  maturitĂ© aprĂšs 9 mois, alors que certaines femelles peuvent prendre jusqu'Ă  trois ans avant d'arriver Ă  maturitĂ©. Sans une analyse ADN, il est impossible de connaitre le sexe d'un jeune poisson rouge. Si vous voulez augmenter vos chances d'avoir des mĂąles et des femelles, vous devez avoir au moins six poissons en bonne santĂ© de la mĂȘme espĂšce. Statistiquement parlant, il y a 98% de chances que l'un de ces poissons soit d'un sexe diffĂ©rent des autres [4] . 2 Observez son comportement amoureux. Sachez qu'il n'existe pas de mĂ©thode exacte pour connaitre le sexe d'un poisson rouge, autre que de l'observer pendant la saison des amours. Il est trĂšs difficile de savoir Ă  coup sĂ»r si un poisson est un mĂąle ou une femelle, mĂȘme les professionnels se trompent de temps en temps. Cela est dĂ» au fait qu'il existe beaucoup d'exceptions Ă  la rĂšgle. Certains poissons rouges mĂąles n'auront pas de nodules et dans certains cas rares, les femelles en auront. Certains poissons rouges femelles n'auront pas d'orifice anal protubĂ©rant tandis que certains mĂąles pourraient en avoir un. En plus de cela, certaines espĂšces de poissons rouges ne suivent pas ces rĂšgles gĂ©nĂ©rales, par exemple, certaines espĂšces comme les ranchu et les ryukin ont un corps de forme ronde et Ă©paisse, ce qui rend l'identification grĂące Ă  la forme du corps quasiment impossible. C'est pourquoi il vaut mieux identifier le sexe d'un poisson rouge en observant plusieurs signes plutĂŽt que de faire confiance Ă  un seul de ces signes. 3 Prenez soin de vos amis ! Sachez que ces mĂ©thodes d'identification ne sont valables que pour les poissons rouges en bonne santĂ© et bien nourris. Les poissons rouges malades pourraient avoir des comportements irrĂ©guliers pendant la saison des amours ou ne pas dĂ©velopper les caractĂ©ristiques physiques habituelles qui indiquent le sexe. C'est pourquoi vous devez ĂȘtre sĂ»r que vos poissons rouges sont en bonne santĂ© par exemple en leur procurant de l'eau et de la nourriture de qualitĂ© avant de vouloir identifier leurs sexes. Par exemple, un mĂąle malade pourrait ne pas dĂ©velopper les nodules que l'on observe gĂ©nĂ©ralement pendant la saison des amours, tandis qu'une femelle en mauvaise santĂ© pourrait avoir un orifice anal rentrĂ©. La forme du corps peut aussi vous induire en erreur. Un poisson rouge fin pourrait ĂȘtre pris pour un mĂąle car les mĂąles sont gĂ©nĂ©ralement plus petits, mais en fait c'est peut-ĂȘtre une femelle mal nourrie. D'un autre cĂŽtĂ©, vous pourriez penser qu'un poisson est une femelle Ă  cause de son abdomen distendu, mais ce gonflement pourrait aussi ĂȘtre le signe de la dropsie Ă  cause d'une infection bactĂ©rienne interne [4] . PublicitĂ© Conseils Certains passionnĂ©s de poissons rouges croient aussi que les mĂąles ont tendance Ă  avoir une couleur plus claire et Ă  ĂȘtre plus actifs que les femelles. Essayez de vous rendre dans une animalerie et observez les poissons rouges plus gros. Cela pourrait vous aider Ă  faire la diffĂ©rence entre les deux sexes plus facilement. 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Comment savoir si notre poisson est un mĂąle ou une femelle ? En effet, extĂ©rieurement il n’y a pas de diffĂ©rence entre les deux sexes. Les poissons ont la mĂȘme taille et la mĂȘme couleur. C’est surtout par leur comportement quon peut les reconnaĂźtre. Au moment de la reproduction, le mĂąle poursuit la femelle, ce qui provoque la ponte des ovules. De plus, Quels sont les poissons d’eau douce ? Carpes KoĂŻ Japon. Carpes KoĂŻ France. Esturgeons. Poissons de bassin d’ eau froide. ComĂštes jaunes et Ide. Tanches. Comment savoir si un poisson rouge est heureux ? Observez bien sa couleur elle ne doit pas s’attĂ©nuer, sa façon de nager. Il est normal que votre poisson soit moins vif en Ă©tĂ© lorsqu’il fait trĂšs chaud, ou en hiver lorsqu’il fait froid. En dehors de ces pics de chaleur, surveillez quil soit bien alerte. ainsi, Comment savoir si le poisson est mort ? Regardez l’Ɠil du poisson dans son ensemble. Si ses yeux sont enfoncĂ©s, votre poisson est mort ou presque mort. Recherchez des pupilles vitreuses, qui sont Ă©galement souvent le signe de la mort chez la plupart des poissons d’aquarium X Source de recherche . Comment savoir si le poisson rouge est enceinte ? Certains poissons semblent faire nid », en se cachant dans les plantes et les mammifĂšres. Les poissons rouges enceintes commencent Ă  manger moins lorsqu’ils vont frayer. Si vous remarquez que les poissons refusent leur nourriture, cela pourrait indiquer qu’ils sont susceptibles de pondre leurs Ɠufs. Quels sont les meilleurs poissons d’eau douce ? On allait donc pĂȘcher dans les riviĂšres, les fleuves ou les lacs. L’ anguille. C’ est de mai Ă  septembre que l’anguille est la meilleure mais on en trouve toute l’annĂ©e. 
 Le brochet. Le brochet Ă©volue dans les riviĂšres et dans les lacs. 
 La carpe. 
 L’esturgeon. 
 La lamproie. 
 La perche. 
 L’omble-chevalier. 
 Le sandre. Comment savoir si il y a du poisson dans une riviĂšre ? Un moyen trĂšs simple d’estimer la valeur d’une riviĂšre est de venir observer les poissons Ă  la bonne heure. L’aurore est un moment d’activitĂ© pour tous les poissons. Au petit matin, on voit les petits cyprins en surface, les carpes sauter, et les carnassiers en chasse. Quels sont les carnassiers d’eau douce ? Carnassiers des eaux douces françaises Le brochet Esox lucius Le black-bass Micropterus salmoides La perche commune Perca fluviatilis Le sandre Sander lucioperca Le silure glane Silurus glanis Est-ce qu’un poisson rouge s’ennuie tout seul ? Ce poisson aux Ă©cailles souvent orangĂ©es est un animal grĂ©gaire. C’est-Ă -dire quil aime vivre en groupe et s’ennuie s’il est tout seul. Alors, n’hĂ©sitez pas Ă  le faire vivre avec d’autres petits compagnons de jeu. 
 Vous devez aussi le mettre avec des poissons qui vivent dans la mĂȘme eau que lui. Comment savoir si les poissons ont faim ? Pour Ă©vitez la catastrophe, apprenez Ă  reconnaĂźtre les signes de suralimentation chez vos poissons ! Vos poissons semblent avoir toujours faim . Vous ne leur donnez qu un ou deux gros repas par jour. Vous leur donnez toujours plus lorsque vous vous absentez. Il y a de la nourriture Ă  la surface ou au fond de l’aquarium. Comment stimuler un poisson rouge ? Pensez Ă©galement Ă  ajouter des dĂ©corations qui auront pour fonction de stimuler votre poisson rouge et de lui procurer des endroits oĂč se cacher des plantes naturelles ou artificielles, un gros caillou, des morceaux de bois, etc
 Comment sauver un poisson mourant ? Ajoutez une cuillerĂ©e Ă  cafĂ© de sel par litre d’eau. MĂ©langez le sel Ă  l’eau pour vous assurer que tous les grains se sont dissouts, puis mettez votre poisson dans le rĂ©cipient d’eau salĂ©e. Gardez l’animal dans l’eau pendant deux Ă  trois minutes et observez-le pendant le bain de sel. Comment les poissons meurent ? Et bien dĂ©trompez-vous, ils peuvent bien trouver la mort par asphyxie. Comment ? Les poissons ont deux moyens de respirer dans l’eau par les branchies ou alors en ouvrant passivement la bouche tout en nageant. La compression des ouĂŻes, ainsi que l’immobilisme concourent inĂ©luctablement Ă  la noyade. Pourquoi mon poisson est mort ? La cause de la mort est bien entendu les nitrites! Tu n’as pas cyclĂ© ton petit aquarium et en plus tu as mis deux gros pollueurs. Il faut acheter un test en gouttes pour les nitrites et les nitrates et faire des changements d’eau si les paramĂštres ne sont pas bons. Comment sont les oeufs de poissons rouges ? Les blancs opaques sont des oeufs non fĂ©condĂ©s, alors que les transparents sont eux bien fĂ©condĂ©s. Les parents et les autres poissons rouges, mangent les oeufs, il faut donc sĂ©parer oeufs et adultes si vous souhaitez Ă©lever quelques alevins. Comment savoir si un poisson rouge va pondre ? Si votre poisson femelle semble de plus en plus trapue, charnue et que son abdomen s’arrondit, c’est gĂ©nĂ©ralement le signe qu’elle est en gestation. Son ventre est souvent plus rond et plus dĂ©sĂ©quilibrĂ© d’un cĂŽtĂ© Ă  cause des oeufs qui remplissent un cĂŽtĂ© de son corps plutĂŽt que l’autre. Cherchez la prĂ©sence d’une tache rouge ou noire. Les femelles pleines dĂ©veloppent souvent une tache de grossesse sur l’abdomen prĂšs de leur orifice arriĂšre. Elle est en gĂ©nĂ©ral rouge ou noire et grossit de maniĂšre plus prononcĂ©e au cours de la gestation. Quel est le poisson le plus goĂ»teux ? Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l’aile de raie. Simplement grillĂ©s, au beurre noir, aux cĂąpres, farcis, en papillote, ils offrent une grande variĂ©tĂ© de prĂ©sentation. Quels sont les poissons Ă  ne pas manger ? Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds comme le flĂ©tan, le grenadier ou l’empereur. Eviter les espĂšces suivantes bar, cabillaud, carrelet, crevette, Ă©glefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l’Atlantique, sole, thon albacore, germon, obĂšse. Quel est le poisson le meilleur pour la santĂ© ? Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu’en vitamine D, laquelle participe Ă  la soliditĂ© du squelette et Ă  la vigueur du systĂšme immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus. OĂč se trouve la truite en riviĂšre ? Comprendre et lire la riviĂšre pour trouver les truites 1/ LES BERGES. Commencez par les bordures , n’ayez pas le “syndrome” de la berge d’en face car les truites se trouveront bien souvent Ă  vos pieds . 
 3 ROCHERS, BLOCS ET AUTRES OBSTACLES. 
 5 LES VEGETATIONS IMMERGEES. 
 7 EAUX PIQUÉES OU EN LÉGÈRE CRUE. OĂč aller pĂȘcher Ă  Longueuil ? DorĂ© Jaune La voie maritime au complet est un site de prĂ©dilection. 
 PrĂšs de l’üle Verte face Ă  Longueuil , il y a de belles fosses. 
 La pointe de l’üle St-Ours. 
 De chaque cotĂ© de l’üle de Lavaltrie. 
 Ă  la jonction de la riviĂšre Richelieu et du fleuve il y a de beaux escarpements productifs pour le dorĂ©. OĂč on peut pĂȘcher sans permis ? En effet, il existe bien un endroit dans lequel pĂȘcher se fait librement et sans permis de pĂȘche. Il s’agit d’une partie de la Haute-Somme situĂ©e entre BĂ©thencourt-sur-Somme et Bray-sur-Somme. Dans cette partie de la France, vous disposez d’étangs Ă  perte de vue. Ces Ă©tangs peuvent abriter des chevesnes ou des brĂšmes.
avantle tir c’est impossible :) +1, Il n’existe aucun moyen de distinguer le mĂąle de la femelle Ă  distance, la distinction ne peut ĂȘtre faite qu’avec un animal tenu en main et par un examen des organes gĂ©nitaux. :wink: PS:je t’aurais bien mis une image pour les differenciers,mais j’ai pas le livre sous la main.
5 min - 29 votes - sommaire - 1 commentaireFleurs de courgettes, mĂąle ou femelle ? Fleur de courgette femelle La courgette fait partie des stars du potager. Sa productivitĂ© est proverbiale et un seul plant bien entretenu est capable de fournir de nombreux fruits. Le plant de courgettes produit de grosses fleurs d'un jaune dorĂ© caractĂ©ristique tout au long de la saison, mais toutes ne porteront pas de fruit et il est important de comprendre pourquoi. Sommaire >> Comment reconnaĂźtre les fleurs de courgettes mĂąles et femelles ? Des fleurs mĂąles et femelles Comment se forme le fruit ? Comment amĂ©liorer votre productivitĂ© ? Fleur de courgette mĂąle En effet, Ă  l'instar de la plupart des cucurbitacĂ©es concombres, potimarrons, courges butternut, etc., un plant de courgettes porte en mĂȘme temps des fleurs mĂąles et femelles qu'il faut savoir identifier. Si elles prĂ©sentent peu ou prou la mĂȘme forme, elles sont en rĂ©alitĂ© assez faciles Ă  diffĂ©rencier en les observant de prĂšs la fleur femelle apparaĂźt au bout d'un petit renflement qui a dĂ©jĂ  clairement l'apparence de la future courgette, et on y distingue facilement le pistil l'organe reproducteur de la fleur. La fleur mĂąle, elle, se dĂ©veloppe sur une vĂ©ritable tige beaucoup plus fine et ne comporte pas d'orifice en son centre. Elle contient uniquement les Ă©tamines qui forment une petite grappe serrĂ©e, et qui produisent le pollen. Comment se forme le fruit ? Fleur de courgette qui va donner une courgette Pour obtenir une courgette, le pollen contenu dans la fleur mĂąle doit ĂȘtre dĂ©posĂ© sur le pistil, l'organe reproducteur de la fleur femelle. C'est la fĂ©condation. GĂ©nĂ©ralement, ce sont les insectes butineurs, notamment les bourdons, abeilles et syrphes qui se chargent de cette opĂ©ration en passant de fleur en fleur. Si la fleur femelle n'est pas fĂ©condĂ©e, la petite courgette prĂ©sente Ă  sa base va jaunir et tomber. Comment amĂ©liorer votre productivitĂ© ? Pour ĂȘtre sĂ»r d'obtenir une rĂ©colte abondante de courgettes, il est possible de se charger soi-mĂȘme de la pollinisation des plants. Une fois les types de fleurs identifiĂ©s, vous pouvez procĂ©der Ă  la fĂ©condation des femelles en rĂ©coltant le pollen d'une fleur mĂąle Ă  l'aide d'un pinceau souple et en le dĂ©posant directement au centre de la fleur femelle. Il faut pour cela prendre soin d'utiliser des fleurs bien ouvertes et non fanĂ©es. Vous saurez vite si l'opĂ©ration est rĂ©ussie, la petite courgette se dĂ©veloppera alors rapidement Ă  la base de la fleur. Vous pouvez rĂ©aliser la mĂȘme opĂ©ration avec tous vos plants de concombres, citrouilles, melons et courges de votre potager. On en parle en ce moment sur les rĂ©seaux sociauxComment reconnaĂźtre une fleur de courgette femelle ? BrigitteJu le centre de la fleur est "boursoufflĂ©" Comment reconnaĂźtre une fleur de courgette mĂąle ? LoicGert55 le centre de la fleur est une tige Comment fĂ©conder une fleur de courgette artificiellement ? Gigi12 avec un blaireau de rasage en allant de la fleur mĂąle sur la fleur femelle Articles en rapport avec le sujet → Quand rĂ©colter la betterave rouge → Que faire contre les punaises ? → Comment conserver l'ail des ours ?2 autres articles qui ont intĂ©ressĂ© les visiteurs de cette page Fleur de courgette sans courgette et Ă©viter l'oĂŻdium sur les courgettes Les 3 derniers articles du blog de jardinage naturel → Plantation des fraisiers en jardiniĂšre→ La permaculture sous serre→ Les systĂšme d'arrosage pour votre jardinD'autres articles pour les jardiniers → comment planter les pommes de terre→ amenagement de jardin paysagiste→ legumes perpetuels→ actus jardinage et tests→ choux rouges potager GILLES, web-jardinier J'aime partager avec les gens des astuces au jardin potager dans un intĂ©rĂȘt commun, avoir une production abondante, naturelle et Ă©cologique. Au menu, suivi de culture 2018/2022, programme pour dĂ©butants, fiches de culture des lĂ©gumes et calculatrice du jardinier. Ce site participe au Programme Partenaires d'Amazon EU, un programme d'affiliation conçu pour permettre Ă  des sites de percevoir une rĂ©munĂ©ration grĂące Ă  la crĂ©ation de liens vers Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site. Si vous continuez Ă  utiliser ce dernier, nous considĂ©rerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.
26avr. 2021 - Vous souhaitez savoir si vous ĂȘtes en possession d’une koĂŻ mĂąle ou femelle? Ça peut ĂȘtre utile pour faciliter la reproduction et prĂ©parer votre bassin avec des brosses
Comment distinguer une koĂŻ mĂąle d’une carpe koĂŻ femelle? En fait, on peut constater des points de noces sur les opercules branchiaux, et chez le mĂąle, le corps est plus fin plus allongĂ©. Chez la carpe koĂŻ mĂąle, les nageoires pectorales sont souvent de taille supĂ©rieure Ă  celle des femelles. đŸ”” Quelle eau pour un vivier ? Ils prĂ©fĂšreront une eau dure, avec un pH supĂ©rieur Ă  La tempĂ©rature ne doit jamais descendre en dessous de 18°C, ni monter au-dessus de 29°C; l’idĂ©al est entre 25 et 26°C. Vous les verrez souvent chercher les coins dombre oĂč elles se dissimuleront. ainsi Comment reconnaĂźtre une carpe koĂŻ d’un poisson rouge ? La carpe koĂŻ est un poisson d’ornement diffĂ©rent du poisson rouge; la koĂŻ issue de la carpe Cyprinus carpio possĂšde des barbillons sous la bouche qui sont absents chez le poisson rouge. Les carpes koĂŻs sont principalement Ă©levĂ©es au Japon pour la grande taille 60 cm environ et la grande variĂ©tĂ© de couleurs. Quand pondent les carpes koĂŻ ? Dans nos rĂ©gions, la carpe koĂŻ est prĂ©sente dans des bassins d’extĂ©rieurs ou des Ă©tangs. La reproduction a lieu entre la fin du printemps et le dĂ©but de l’étĂ© entre mai et juillet, pendant la pĂ©riode de frai car Ă  cette Ă©poque, la tempĂ©rature de l’eau augmente. Comment reconnaĂźtre le mĂąle de la femelle chez la carpe ?Quand pondent les poissons ?Comment les carpes se reproduisent ?Quel poisson pour l’eau du robinet ?Comment faire un bac Ă  vif ? Comment reconnaĂźtre le mĂąle de la femelle chez la carpe ? Observer les nageoires et la forme globale La premiĂšre des façons de diffĂ©rencier mĂąles et femelles est d’observer la forme et la couleur des nageoires pectorales. Un mĂąle possĂšde des nageoires plus petites et plus effilĂ©es, gĂ©nĂ©ralement opaques et bien colorĂ©es. Quelle eau pour les poissons ? Chez les aquariophiles, l’eau osmosĂ©e est considĂ©rĂ©e comme la meilleure eau pour un aquarium Elle est issue d’un procĂ©dĂ© de filtrage trĂšs puissant pour un rĂ©sultat pur de 95 Ă  99 %. L’eau osmosĂ©e est donc adoucie et dĂ©pourvue de tout Ă©lĂ©ment nocif nitrates, mĂ©taux lourds, pesticides, calcaire, etc. Comment lutter contre les eaux vertes des bassins ? Que faire contre l’ eau verte dans votre bassin Optez pour une lampe Ă  UVC Elle n’a aucun impact sur le pH de l’ eau . Elle n’empĂȘche pas les alevins de se reproduire et ne fait pas fuir les animaux sauvages. Elle protĂšge vos poissons des mycoses et viroses. Elle nettoie les points d’ eau avec de nombreuses carpes koĂŻ Comment faire un vivier Ă  vif ? Remplissez la jardiniĂšre de pouzzolane et placez-la sous le rejet du tuyau de la pompe Ă  eau. VoilĂ  donc une solution facile Ă  mettre en place, Ă©conomique et efficace. Vous pourrez conserver vos vifs toute la saison si vous prenez soin d’avoir une eau qui reste propre et bien oxygĂ©nĂ©e. Quand pondent les poissons ? En ayant recours Ă  l’induction artificielle de l’ovulation, ce mĂȘme poisson, qui est un gĂ©niteur saisonnier, peut se reproduire deux Ă  trois fois par an. La plupart des poissons d’eau douce fraient au printemps, d’autres au moment des crues, quand le niveau d’eau augmente dans les riviĂšres et les lacs. Comment se fait la ponte des koĂŻ ? Le processus de la reproduction commence tout d’abord dĂšs que la tempĂ©rature de l’eau atteint 18°C. La ponte des Ɠufs et la production du sperme sont dĂ©clenchĂ©s par plusieurs facteurs importants Variations soudaines de la qualitĂ© de l’eau pH, duretĂ©, tempĂ©rature. La construction du bassin. Comment rĂ©cupĂ©rer les Ɠufs de koĂŻ ? Brosse de fraie pour carpes koĂŻs & poissons Il faut placer ces brosses juste en dessous du niveau de l’eau, au bord de l’étang. AprĂšs quelques heures les oeufs vont s’attacher dans les fibres des brosses. Il faudra alors retirez les brosses dĂšs que les koi ont frayĂ©, sinon ils mangerons les oeufs. Comment reconnaĂźtre un esturgeon mĂąle ou femelle ? Évidemment, seules les femelles esturgeons produisent des Ɠufs et donc du caviar 
 A partir de 2 ans, le pisciculteur pratique une Ă©chographie sur tous les poissons. Cette Ă©chographie va dĂ©terminer le sexe du poisson. Comment les carpes se reproduisent ? Reproduction. La carpe commune se reproduit de juin Ă  juillet, dans les eaux peu profondes. Une tempĂ©rature de l’eau de 17 °C semble ĂȘtre le stimulus qui dĂ©clenche le rassemblement des carpes et le frai, dans des eaux peu profondes oĂč la flore aquatique est abondante. Comment faire se reproduire des koĂŻ ? Le biotope. La faune est essentielle pour la reproduction des carpes KoĂŻ. Les Ɠufs s’accrochent aux vĂ©gĂ©taux prĂ©sents dans le bassin avant d’éclore. Que ce soit de la mousse espagnole, des nĂ©nuphars ou des bouquets d’Elodea ou de Nitella, leur prĂ©sence est obligatoire. Quelle eau pour les poisson rouge ? Les paramĂštres d’eau d’un aquarium pour poissons rouges Comme dit plus haut, le poisson ronge est un poisson d’eau froide. Il vit donc dans une eau allant de 18°C Ă  22°C, il suffit de ne pas installer de chauffage et de ne pas placer l’aquarium en plein soleil pour atteindre cette tempĂ©rature. Quelle eau pour les poissons combattants ? Les Combattants ont besoin d’une eau avec un pH compris entre et Le taux d’Ammoniac doit ĂȘtre le plus bas possible tout comme les Nitrites NO2. Un taux de Nitrates NO3 infĂ©rieur Ă  40 ppm est souhaitable. Quel poisson pour l’eau du robinet ? L’eau du robinet bien qu’elle soit bonne pour nous, elle ne l’ait pas pour les plantes et vos poissons. En utilisant le conditionneur d’eau AQUASAFE», votre eau de robinet deviendra saine et adaptĂ©e pour les poissons tropicaux comme le guppy, le nĂ©on, le botia clown, le poisson arlequin 
 Comment rendre l’eau de mon bassin claire ? Pour avoir une eau claire, recouvrez d’une Ă©paisse couche le fond du bassin avec du sable puis du gravier de plus en plus gros
 il laissera tomber la vase au fond et les plantes pousserons a merveille. Comment garder l’eau d’un bassin claire naturellement ? Combattez-les en plaçant des plantes flottantes. Des variĂ©tĂ©s communes sont les grenouillettes, les lentilles d’eau, les Ă©toiles d’eau, les jacinthes d’eau et les fougĂšres d’eau. Ces plantes absorbent les nombreux nutriments de l’eau et font figure de concurrent alimentaire pour les algues filamenteuses. Comment empĂȘcher l’eau de verdir dans un bassin ? Des plantes oxygĂ©nantes ci-dessous peuvent vous aider Ă  diminuer la quantitĂ© d’algues prĂ©sentes dans votre Ă©tang. Une pompe Ă  air, une cascade ou un petit jet d’eau peuvent aussi vous aider Ă  favoriser l’oxygĂ©nation du bassin. Comment faire un bac Ă  vif ? Le bac Ă  vif extĂ©rieur En bois, en bĂ©ton, en plastique, qu’importe du moment qu’il ait une bonde de vidange. L’idĂ©al est un bac de 500 litres, au delĂ  il sera trop difficile d’attraper les poissons Ă  l’épuisette. Une bonne pompe d’aquarium ou de bassin de jardin suffira. Comment faire du vif ? La pratique de la pĂȘche au vif peut se faire de deux façons. Au bord de l’eau, elle se fait au poser, et dans ce cas, la canne est placĂ©e au niveau d’un repose-canne ou d’un pique. En bateau, elle s’effectue Ă  rĂŽder. Vous devez donc vous dĂ©placer de poste en poste. Comment pĂȘcher des vifs rapidement ? Capturer ses vifs La technique classique est Ă  la canne Ă©videmment. Vous pouvez les pĂȘcher au bouchon, Ă  l’anglaise ou encore au feeder pour les plus gros gardons et brĂšmes. L’amorçage pourra ĂȘtre un plus dans les zones et pĂ©riodes difficiles. N’oubliez pas de partager l’article avec vos amis 💕 TUTObassins et kois: Savoir différencier le sexe d'une carpe koi 23,730 views Jun 25, 2018 Pour savoir diffĂ©rencier le sexe d'une carpe koi dĂ©couvrez les conseils utiles avec Il peut ĂȘtre utile de savoir comment reconnaĂźtre le sexe des carpes koi, que ce soit pour planifier leur reproduction, ou bien par simple curiositĂ©, ou encore parce que vous leur attribuez Ă  chacune un nom que vous souhaitez conforme Ă  leur genre. Le sexage des koi est plus facile lorsque les carpes sont matures, vers l’ñge de 2 ans, et qu’elles atteignent 30 cm ou plus. Mais pour un Ɠil exercĂ©, c’est quand mĂȘme possible de dĂ©terminer leur genre plus tĂŽt. Observer les nageoires et la forme globale La premiĂšre des façons de diffĂ©rencier mĂąles et femelles est d’observer la forme et la couleur des nageoires pectorales. Un mĂąle possĂšde des nageoires plus petites et plus effilĂ©es, gĂ©nĂ©ralement opaques et bien colorĂ©es. Tandis que chez la femelle koi, les nageoires sont larges, de forme arrondie, et plus ou moins transparentes. La deuxiĂšme façon de distinguer le sexe des Koi est de comparer la forme du corps. Mais c’est plus difficile Ă  observer chez les jeune koi. Le corps du mĂąle est relativement long et mince, tandis que chez la femelle, le corps est plus galbĂ©, sans doute pour mieux accueillir les Ɠufs. Cela donne Ă  la femelle une silhouette assez semblable Ă  celle d’un dirigeable. Ce critĂšre sert d’ailleurs assez souvent Ă  reconnaĂźtre les koi haut de gamme » dans les concours. Il est vrai que le corps plus large des femelles permet de mieux apercevoir les motifs et les couleurs. C’est sans doute la raison pour laquelle les plus beaux spĂ©cimen koi photographiĂ©s dans les catalogues des Ă©leveurs sont majoritairement des femelles. Origine du dimorphisme sexuel MĂȘme si cela n’est pas particuliĂšrement utile pour dĂ©terminer leur genre, il est interessant de noter que les koi mĂąles ont tendance Ă  croĂźtre moins vite que les Koi femelles. Ceci est dĂ» aux mĂ©thodes de reproduction utilisĂ©es par les Ă©leveurs japonais depuis des siĂšcles. Pour accroĂźtre la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique, chaque femelle reproductrice Ă©tait prĂ©sentĂ©e Ă  plusieurs mĂąles reproducteurs en mĂȘme temps. Et pour que la femelle ne souffre pas trop des assauts des mĂąles compĂ©titeurs, on choisissait de prĂ©fĂ©rence les plus grosses femelles auxquelles on associait de petits mĂąles. GĂ©nĂ©ration aprĂšs gĂ©nĂ©ration, la consĂ©quence involontaire de cette sĂ©lection des petits mĂąles Ă  croissance lente associĂ©s Ă  de plus grandes femelles a finit par faire de ces profils un caractĂšre sexuel secondaire et permanent de l’espĂšce.
\n \n\n \n \n comment reconnaitre une carpe koi male ou femelle
Ilest aisé de distinguer le mùle de la femelle car il existe un dimorphisme sexuel chez ces oiseaux. Le mùle, plus petit que la femelle, est reconnaissable à sa poitrine au plumage roux alors que la femelle possÚde de petits points sombres sur ses plumes. Comment faire couver une caille de Chine ? La femelle, qui veut couver, va dans un petit coin à sa convenance
LES POISSONS BLANCS l' ABLETTE DESCRIPTION L'ablette est un petit poisson. La morphologie de son corps laisse apparaĂźtre sur son dos des reflets "gris-bleu" et sur le ventre et les flancs des couleurs argentĂ©es, ses nageoires sont gĂ©nĂ©ralement "gris-pĂąles". Une des caractĂ©ristique de l'ablette est sa bouche. En effet elle est Ă  la fois oblique et orientĂ©e vers la surface, ainsi l'ablette peut se nourrir ainsi Ă  la tombĂ©e du jour on peut parfois apercevoir des ronds sur l'eau, l'ablette happe les insectes Ă  la surface. La nageoire anale est plus large que la nageoire dorsale. On peut rencontrer enormĂ©ment de sortes d'ablettes; la morphologie du poisson est trĂšs variable on peut ainsi observer des spĂ©cimens dont la taille varie de 12 Ă  25cm, pour un poids qui se situe aux alentours de 20 Ă  50 grs toutefois des individus allant jusqu'Ă  200 grs on dĂ©ja Ă©tĂ© capturĂ©s!.BIOLOGIE Le plus souvent on rencontre l'ablette nageant en vĂ©ritables bancs jusqu'Ă  100 poissons. Ce poisson blanc vit dans les eaux claires et stagnantes il n'est pas rare d'en voir pourtant en canal. Entre le mois d'Avril et Juin, c'est la pĂ©riode de fraie. Le mĂąle prĂ©sente des tubercules nuptiaux sur le dos et les flancs, et les nageoires sont orangĂ©es. La ponte s'effectue prĂšs des rives au calme. Les oeufs 1000 Ă  2000 par femelle adhĂšrent aux plantes et incubent pendant 2 Ă  3 ET DISTRIBUTION Aujourd'hui on rencontre l'ablette quasiment partout en France; sauf dansles mares trop boueuses et les torrents trop rapides et trop froid. Dans les Ă©tangs, les canaux, les lacs et les riviĂšres on la voit jouer dans les calmes, les remous, en bordure des courant Ă  la recherche de petits insectes et des larves. Par beau temps, elle se tient trĂšs prĂšs de la surface; dĂšs que le temps se rafraichit, elle descend entre deux eaux et avec les eaux froides d'hiver elle se tient postĂ©e prĂšs du fond. le BARBEAU DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos lĂ©gĂšrement bombĂ© est brun-vert, les flancs sont dorĂ©s, le ventre blanc. La caudale, l'anale et les pelviennes sont orangĂ©es. La tĂȘte est longue, la bouche infĂšre est bordĂ©e d'Ă©paisses lĂšvres charnues et portent 4 barbillons sur la lĂšvre supĂ©rieure. les Ă©cailles sont de taille moyenne 55 Ă  65 le long de la ligne latĂ©rale. La nageoire dorsale porte 7 Ă  11 rayons, le plus long est ossifiĂ© et dentelĂ© sur son bord postĂ©rieur. Taille de 30 Ă  100cm Poids Max. 12 Le barbeau fluviatile frĂ©quente les cours d'eau clairs et oxygĂ©nĂ©s Ă  fond sablo-graveleux. Il vit en bancs au fond de l'eau dans les zones de fort courant. La fraie se dĂ©roule en mai-juin dans les eaux peu profondes. Les oeufs, 3000 Ă  5000 par femelle incubent pendant 10 Ă  15 jours. Il est omnivore et se nourrit en fouillant le ET DISTRIBUTION Le barbeau fluviatile est largement rĂ©pandu, il est prĂ©sent dans les bassins de la Seine, de la Loire, de la Garonne, du Rhin et du RhĂŽne Valenciennes, 1848 ; Gervais,1897 ; Roule, 1925 ; Dottrens, 1951. Il serait absent des lacs savoyards Blanchard, 1866 ; Moreau, 1881, du FinistĂšre, d'Ille et Vilaine Spillmann, 1961 et des cours d'eau normands. Il n'est pas signalĂ© dans la Somme et le Pas de Se pĂȘche au coup Ă  ligne flottante et Ă  la plombĂ©e. Bonne combativitĂ©. Le BLAGEON DESCRIPTION le blageon a un corps allongĂ©, un dos brun Ă  reflets gris-bleu, des flancs argentĂ©s, un ventre blanc, des nageoires jaune-brun ; la ligne latĂ©rale est bordĂ©e d'une pigmentation orange. Une bande longitudinale noire violacĂ©e visible surtout chez les mĂąles est situĂ©e au dessus de la ligne latĂ©rale, de l'Ɠil jusqu'Ă  la nageoire caudale. La bouche est infĂšre, le museau mousse. Taille de 10 Ă  25 cm. Il existe des variations morphologiques de l'espĂšce selon la situation gĂ©ographique d'Aubenton et al, 1971 - Le se caractĂ©rise par une couleur argentĂ©e, un dos rectiligne, des nageoires pectorales Ă©troites et les lobes de la nageoire caudale sont aiguĂ«s. - Le a une pigmentation trĂšs accentuĂ©e dos sombre, bande noire marquĂ©e sur les flancs et est plus fusiforme. - Le possĂšde un museau court large et Ă©pais par rapport au type prĂ©cĂ©dent alors que la pigmentation en diffĂšre Le blageon, frĂ©quente les eaux courantes Ă  fond de graviers. C'est un poisson grĂ©gaire. La pĂ©riode de reproduction se situe de fin mars Ă  dĂ©but mai, les couleurs des reproducteurs sont alors avivĂ©s et le mĂąle porte des tubercules nuptiaux sur la tĂȘte et les opercules. La ponte 5000 Ă  7000 ovules/femelle s'effectue sur les ET DESCRIPTION L'espĂšce Leuciscus soufia au sens large serait autochtone dans les bassins du Rhin, du RhĂŽne et des fleuves cĂŽtiers de l'est mĂ©ditĂ©rrannĂ©en Spillmann, 1961. Il est signalĂ© dans le Doubs, la SaĂŽne, l'Ouche Blanchard, 1866 ; Gensoul, 1908 ; Verneaux, 1973, la Seille, le IthĂŽne, l'ArdĂšche, la Durance GrĂ©goire, 1983, dans les lacs d'Annecy et du Bourget et dans l'HĂ©rault Gervais, 1897 ; Gensoul, 1908. Sa prĂ©sence a Ă©tĂ© constatĂ©e dans le bassin de l'Aube. Les variations des types morphologiques de l'espĂšces se font suivant un arc allant de l'Italie Ă  la BaviĂšre en passant par les Alpes Spillmann, 1961. Ainsi le L. s. soufia est cantonnĂ© au fleuve Var, le L. s. agassizi Ă  la vallĂ©e du RhĂŽne, de l'Argens, le Gapeau et l'HĂ©rault Kiener, 1985 et le L. s. multicellus est prĂ©sent dans la Bevera Alpes-maritimes.PÊCHE Il se pĂȘche au coup et Ă  la mouche comme la vandoise. Il est amusant Ă  capturer en raison de sa vivacitĂ© et de sa dĂ©fense. la BOUVIERE DESCRIPTION Le corps est haut et comprimĂ© latĂ©ralement; le dos est gris-vert, les flancs argentĂ©s avec une bande bleue de la caudale au milieu du flanc, le ventre blanc-rose. Les Ă©cailles sont grandes 34 Ă  38 dans une ligne longitudinale. La ligne latĂ©rale est incomplĂšte. Taille de 5 Ă  8 cm jusqu'Ă  12 La bouviĂšre vit en bancs dans les eaux lentes peuplĂ©es de Mollusques Bivalves du Genre Unjo et Anodonta. En pĂ©riode de fraie avril-juin, le mĂąle est teintĂ© de rouge sur la gorge, la poitrine et le ventre; et de vert-bleu sur le dos. Il se choisit alors un territoire qui contient une moule, la femelle dĂ©pose ses ovules une quarantaine dans la cavitĂ© pallĂ©ale du Bivalve grĂące Ă  un trĂšs long ovipositeur. Le mĂąle libĂšre alors Sa semence Ă  proximitĂ© du Mollusque, le siphon inhalant de ce dernier entraĂźne les spermatozoĂŻdes avec l'eau filtrĂ©e. Les ovules sont alors fĂ©condĂ©s. L'incubation dure 2 Ă  3 semaines puis les alevins abandonnent la moule qui les abritait. ORIGINE ET DISTRIBUTION Elle Ă©tait signalĂ©e au siĂšcle dernier dans la Seine, la Marne, la Moselle, la SaĂąne Valenciennes, 1848 ; Gehin, 1868 ; Gensoul, 1908. Elle aurait gagnĂ© le bassin de la Loire par le canal du Nivernais Roy, 1952. Spillmann 1961 et GrĂ©goire 1983 la considĂ©rait comme absente au sud d'une ligne allant de la Charente au massif central Des captures ont eu lieu en Camargue en 1980, l'espĂšce se serait Ă©tendue vers le sud par le RhĂŽne et les canaux de Provence Kiener, 1985. Son aire de rĂ©partition apparaĂźt actuellement comme trĂšs fragmentĂ©e. La rĂ©partition de la bouviĂšre est largement conditionnĂ©e par la prĂ©sence des Mollusques qui abritent la ponte. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE La bouviĂšre se prend parfois en pĂȘchant les gardons , les ablettes ou les poissons de friture dans les eaux calmes et les canaux. Elle mord surtout Ă  l'esche carnĂ©e de trĂšs petite taille. la BREME DESCRIPTION Le corps est Ă©levĂ© et comprimĂ© latĂ©ralement. La bouche est petite et dĂ©pourvue de barbillon. L'Ɠil est relativement petit par rapport Ă  la longueur du museau caractĂšre distinctif de la brĂšme bordeliĂšre. On dĂ©nombre plus de 10 Ă©cailles entre la ligne latĂ©rale et l'insertion de la nageoire dorsale. La nageoire anale est trĂšs longue. La coloration du corps est homogĂšne, le dos est vert bronze et les flancs clairs, les nageoires sont grises. Taille 30/40 cm, elle peut atteindre 70 cm. Poids 0,5 Ă  2 kgs jusqu'Ă  6 kgsBIOLOGIE La brĂšme est un poisson grĂ©gaire vivant dans les eaux calmes des cours d'eau et des Ă©tangs de plaine. Sa reproduction est printaniĂšre lorsque la tempĂ©rature de l'eau est voisine de 18°C. La fĂ©conditĂ© est moyenne de 30000 Ă  40000 ovules par kilo de femelle. La ponte a lieu dans les herbiers mais les oeufs peuvent ĂȘtre dĂ©posĂ©s sur des supports minĂ©raux galets et graviers. Le rĂ©gime alimentaire est zooplanctonophage chez les alevins puis benthophage chez les ET DISTRIBUTION Cette espĂšce autochtone, Ă©tait relativement rare dans le midi de la France Blanchard, 1866 ; Roule, 1925, elle semble actuellement largement rĂ©partie sur l'ensemble du Elle se pĂȘche au coup ligne lĂ©gĂšre en mordant Ă  de nombreuses esches vĂ©gĂ©tales et animales. Elle craint le bruit, l'agitation et est souvent longue Ă  engamer. DĂ©fense peu violente. la CARPE DESCRIPTION Le corps est allongĂ© et plus ou moins haut, la carpe est gĂ©nĂ©ralement brune sur le dos, dorĂ©e sur les flancs et jaune sur l'abdomen. Les Ă©cailles sont grandes 33 Ă  40 le long de la ligne latĂ©rale. La bouche protractile est munie de 4 barbillons 2 longs et 2 courts. Les carpes dites "miroirs" ont une Ă©caillure incomplĂšte, les carpes "cuir" en sont dĂ©pourvues. Taille de 25 Ă  100 cm. Poids 27kgs pour La Carpe vit dans les eaux lentes ou stagnantes Ă  fond sablo-vaseux et riche en vĂ©gĂ©tation. La reproduction a lieu de juin Ă  juillet dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. Le mĂąle prĂ©sente alors des tubercules nuptiaux. Les oeufs l00000/kg de femelle incubent pendant 3 Ă  8 jours. La carpe est surtout active Ă  partir du ET DISTRIBUTION Originaire de l'Asie mineure, Gervais 1897 situe son introduction sous François 1er 16Ăšme siĂšcle alors que Gadeau de Kerville 1897 signale dĂ©jĂ  Sa prĂ©sence au 13Ăšme siĂšcle; elle fut en fait vraisemblablement introduite par les Romains durant l'occupation de la Gaule Pellegrin, 1943 ; Spillmann, 1961; d'Aubenton et Spillmarin, 1976; GrĂ©goire, 1983. La pisciculture de la carpe trĂšs rĂ©pandue au moyen-Ăąge, a permis la sĂ©lection de nouvelles souches Vallois 1901. Elle est largement rĂ©pandue sur le territoire Ă  l'exception des zones de montagne Alpes, PyrĂ©nĂ©es et de la cĂŽte Nord Bretagne. PÊCHE La carpe fait l'objet d'une pisciculture importante depuis longtemps. Elle est trĂšs recherchĂ©e par les pĂȘcheurs au coup. C'est l'un des poissons d'eau douce les plus puissants au bout d'une canne. Poisson trĂšs mĂ©fiant. C'est devenu de plus en plus l'affaire de spĂ©cialistes les carpistes. Sa pĂȘche nĂ©cessite une longue expĂ©rience et des principes rigoureux. Les dĂ©butants sont souvent déçus. le CARASSIN DESCRIPTION Le corps est haut et comprimĂ© latĂ©ralement. Le dos est brun-vert, les flancs et le ventre brun-jaune. La nageoire caudale est convexe, son premier rayon est mince et serratulĂ©. Les Ă©cailles sont grandes 31 Ă  36 le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 20 Ă  50 Le carassin vit dans les Ă©tangs et les lacs peu profonds et riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction se situe en mai-juin dans les eaux peu profondes Ă  vĂ©gĂ©tation dense. Les oeufs 130 000 Ă  250 000 par femelle adhĂ©rent aux plantes. L'incubation dure de 4 Ă  8 jours. Le carassin s'enfouie dans la vase lorsque le plan d'eau s'assĂšche ou pour passer l' ET DISTRIBUTION Originaire d'Europe centrale et occidentale, il n'est autochtone en France que dans le Nord-est Spillmann, 1961. Il Ă©tait signalĂ© dans l'Aube Ray, 1851 l'Aisne Moreau, 1881 et dans l'Yonne Roy, 1952. Son aire de rĂ©partition semble s'Ă©tendre vers le IntĂ©ressante pĂȘche au coup dans les piĂšces d'eau oĂč il est prĂ©sent. TrĂšs combatif. Esches vers de vase, asticots, boulettes de mie de pain. le CHABOT DESCRIPTION Le corps en forme de massue a l'Ă©caillure peu dĂ©veloppĂ©e. Le dos et les flancs sont gris-brun avec des barres transversales foncĂ©es, les nageoires pelviennes, pectorales et caudale portent des bandes transversales, les nageoires dorsale et anale des bandes longitudinales. La tĂȘte est large, aplatie, les yeux sont hauts; il n'a pas de vessie natatoire. L'opercule porte un aiguillon et la ligne latĂ©rale se termine Ă  la nageoire caudale qui est arrondie. Les nageoires pectorales bien dĂ©veloppĂ©es ont les rayons infĂ©rieurs renforcĂ©s. Le chabot possĂšde deux nageoires dorsales, la seconde 13 Ă  19 rayons branchus est plus grande que la premiĂšre 5 Ă  9 Ă©pines. Taille de 10 Ă  15 Le chabot, espĂšce d'accompagnement de la truite, frĂ©quente le fond des cours d'eau rapides et des lacs clairs peu profonds et trĂšs bien oxygĂ©nĂ©s Ă  fond sableux ou graveleux. Durant la journĂ©e il se cache parmi les racines et les pierres. La reproduction a lieu de mars Ă  mai, le mĂąle prĂ©pare un nid, la femelle y pond de 100 Ă  500 ovules. L'incubation qui dure 20-25 jours est surveillĂ©e par le mĂąle. Carnassier, il se nourrit de larves et d'invertĂ©brĂ©s ET DISTRIBUTION Il serait prĂ©sent dans toute la France Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983.PÊCHE Sa capture Ă  la ligne est rare. Il engame toujours profondĂ©ment. Il est victime du braconnage Ă  la fourchette. le CHEVESNE DESCRIPTION Le corps est fuselĂ©, de section presque ronde, le front est large et plat. Le dos est brun-vert, les flancs sont dorĂ©- argentĂ©, la face ventrale est blanche; les nageoires pelviennes et la nageoire anale sont rouges. La bouche est large, les Ă©cailles sont grandes 44 Ă  46 le long de la ligne latĂ©rale; la dorsale porte 11 Ă  12 rayons. Taille de 30 Ă  80 cm. Poids jusqu'Ă  4,5 Le chevaine frĂ©quente les eaux courantes, il est plus rare dans les lacs. La pĂ©riode de reproduction s'Ă©tend d'avril Ă  juin, elle a lieu parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux lentes. Le mĂąle arbore alors des tubercules nuptiaux. Les oeufs de 50 000 Ă  200 000 par femelle incubent 6 Ă  8 jours accrochĂ©s aux pierres et aux plantes. La maturitĂ© est atteinte Ă  l'Ăąge de 3 ans chez les mĂąles et de 4 ans chez les femelles. Les vieux individus sont ET DISTRIBUTION Le chevaine est prĂ©sent dans toute la France, Ă  l'exception du FinistĂšre oĂč il n'est pas Il se pĂȘche au coup, Ă  la mouche artificielle, au lancer. Sa dĂ©fense est brĂšve mais violente. Quoique trĂšs mĂ©fiant il semble vouloir modre Ă  tout ce qui est comestible l' EPINOCHE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le museau pointu. Le dos est gris-bleu, les flancs gris-mĂ©tallique, le ventre blanc et les nageoires diaphanes. En parade nuptiale le mĂąle a le dos vert-bleu, la gorge et la poitrine rouges, les nageoires dorsale et anale foncĂ©es. Le corps ne possĂšde pas d'Ă©cailles mais il est protĂ©gĂ© par une rangĂ©e de plaques osseuses le long de la ligne latĂ©rale. En avant de la dorsale, le dos porte 2 Ă  5 Ă©pines mobiles en gĂ©nĂ©ral 3 ; les pelviennes sont remplacĂ©es par des Ă©pines. Il existe diffĂ©rentes formes d'Ă©pinoches rĂ©parties selon la latitude et diffĂ©rentiĂ©es par l'aspect de leur cuirasse d'Aubenton, 1976 la forme Trachura possĂšde une cuirasse latĂ©rale complĂšte, la forme Hologymnura n'a pas de plaques latĂ©rales et les formes Semi-armata et Gymnura sont intermĂ©diaires au deux premiĂšres Bertin, 1925. Il existe des formes d'eau saumĂątre anadromes et des formes dulçaquicoles sĂ©dentaires. Taille de 4 Ă  8 cm 10 Ă  12 cm pour les formes marinesBIOLOGIE La reproduction a lieu de mars Ă  juin, les formes anadromes remontent alors les cours d'eau pour frayer en eau douce. Le mĂąle construit un nid sur le fond Ă  l'aide de fibres vĂ©gĂ©tales qu'il lie entres elles avec un produit secrĂ©tĂ© par ces reins. Ensuite, il attire successivement plusieurs femelles dans le nid, il les incite Ă  pondre puis il les chasse. Les oeufs 100 Ă  400 par femelle sont veillĂ©s par le mĂąle. L'incubation dure 4 Ă 10 ET DISTRIBUTION L'Ă©pinoche est autochtone en France. Bertin 1925 puis Spillmann 1961 considĂ©rait que son aire de rĂ©partition couvrait tout l'hexagone Ă  l'exception des rĂ©gions montagneuses et des pĂ©nĂ©plaines. Son aire semble actuellement s'Ă©tendre au Massif Armoricain et aux Prise occasionnelle avec des lignes montĂ©es avec de trĂšs petits hameçons. le GARDON DESCRIPTION Le corps est aplati latĂ©ralement, le dos plus ou moins haut est vert-bleu, les flancs argentĂ©s ont quelques reflets dorĂ©s; le ventre est blanc-rouge, les nageoires pelviennes et anale sont rouges. La bouche est Ă©troite, les Ă©cailles sont grandes 42 Ă  45 le long de la ligne latĂ©rale, les yeux sont rouges. Taille de 15 Ă  30 cm jusqu'Ă  45 cm. Poids 200 grs jusqu'Ă  2,4 Le gardon est rĂ©pandu dans les eaux stagnantes et lentes, c'est une espĂšce trĂšs rĂ©sistante Ă  la pollution des eaux. En pĂ©riode de reproduction Avril-juin, les mĂąles se parent de tubercules nuptiaux. Les ovules 50 000 Ă  100 000 par femelle sont pondus dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. L'incubation dure 1 Ă  2 semaines. Les larves et les adultes vivent en bancs parmi la ET DISTRIBUTION Le gardon est autochtone en France Ă  l'exclusion des Alpes-maritimes Spillmann, 1961 oĂč il est cependant C'est le poisson type de la pĂȘche au coup. Sa pĂȘche est possible en toute saison. Il est mĂ©fiant. Il est nĂ©cessaire d'utiliser des lignes fines et bien Ă©quilibrĂ©es. Il mord Ă  la plupart des esches animales et carnĂ©es. le GOUJON DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est vert-bleu, les flancs sont plus clairs avec une rangĂ©e longitudinale de tĂąches bleues et violettes. La nageoire caudale et la nageoire anale sont ornĂ©es de tĂąches noires. La mĂąchoire supĂ©rieure porte 2 courts barbillons, la tĂȘte est longue, les yeux sont grands. Il y a de 40 Ă  42 Ă©cailles le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 10 Ă  25 cm. Poids max. 175 Le goujon vit prĂšs des rives dans les cours d'eau rapides sur des fonds limoneux. On le trouve de plus en plus souvent dans des eaux calmes et riches en matiĂšres organiques y compris les lacs La reproduction s'effectue en mai-juin parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux courantes. Le mĂąle arbore alors un tubercule nuptial sur la tĂȘte. Les oeufs de 1000 Ă  3000 par femelle incubent pendant 2 Ă  3 semaines. Les goujons vivent en bancs au fond de l' ET DISTRIBUTION D'aprĂšs Spillmann 1961, le Goujon, espĂšce autochtone, est largement rĂ©pandu dans toutes les eaux suffisamment claires et fraĂźches; Brunet 1972 le situe entre 42 et 62 degrĂ©s de Latitude Nord isotherme de juillet entre 15 et 27°C. Il a Ă©tĂ© introduit dans le lac d'Annecy Vivier, 1939.PÊCHE Il se pĂȘche au coup. Autrefois la base mĂȘme de toute friture, il devient plus rare et reste un poisson intĂ©ressant Ă  pĂȘcher. la GREMILLE DESCRIPTION La GrĂ©mille a un dos bombĂ©, un front large et un museau mousse. Le dos et les flancs sont vert-gris parsemĂ©s de tĂąches noires ; les nageoires caudale et dorsale portent des macules sombres alignĂ©es. L'opercule est terminĂ© par une Ă©pine dure, le prĂ©opercule est finement dentelĂ©. La partie antĂ©rieure de la nageoire dorsale est soutenue par 12 Ă  16 rayons Ă©pineux et la partie postĂ©rieure par il Ă  16 rayons branchus. Le corps est souvent recouvert de mucus Ă©pais. Taille de 10 Ă  30 cmBIOLOGIE La grĂ©mille vit gĂ©nĂ©ralement en bancs dans les eaux profondes des grands cours d'eau, des lacs et des lagunes. La pĂ©riode de reproduction dĂ©bute en Avril-mai, les ovules 40 000 Ă  100000 par femelle sont pondus en rubans, prĂ©s des rives, sur les pierres et la vĂ©gĂ©tation. L'incubation dure de 10 Ă  12 ET DISTRIBUTION Originaire d'Europe centrale et orientale la grĂ©mille est d'abord cantonnĂ©e aux dĂ©partements de l'est de la France. Elle gagne dĂ©s le dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle le bassin de la Seine Seine, Aube, Yonne et de la Loire Vallot, 1837 ; Valenciennes, 1848 ; Ray, 1851; Marchand, 1897. A la faveur des canaux son aire de rĂ©partition s'Ă©tend Moselle, Orne, Nied, Meurthe, Seille, Sarre, Meuse, Chiers, Somme, Rhin, Doubs, et RhĂŽne Blanchard, 1866 ; Gehin, 1868. En 1925, elle est encore inconnue dans le Sud-Ouest Chevey, 1925 alors que Spillmann 1961 la signale en Bretagne, dans le Puy de dĂŽme, l'Allier, le Cher, la Haute-Vienne, et le Tarn oĂč elle a Ă©tĂ© introduite. Yvernault 1972 signale sa prĂ©sence en Charente-Maritime. Kiener 1985 la cite dans la Durance, l'Arc, et les canaux d'Aix en Elle se capture sur des lignes destinĂ©es au gardon et au goujon. La grĂ©mille ne mord que sur des esches animales et se nourrit essentiellement au fond. le HOTU DESCRIPTION Le Hotu est un poisson Ă©lancĂ©, qui se caractĂ©rise par sa bouche rectiligne en position infĂšre chez l'adulte. Le museau est proĂ©minent, la lĂšvre infĂ©rieure est cartilagineuse. La coloration du corps est homogĂšne, gris-bleu et brillante. Les nageoires sont souvent orangĂ©es. Taille La taille est variable suivant les milieux, elle dĂ©passe rarement 45 Ă  50 cm, pour une durĂ©e de vie de 15 ans environ dans les riviĂšres françaises Nelva-Pasqual, 1985. Poids 200 grs Ă  1,8 Le hotu est un poisson grĂ©gaire qui affectionne les eaux courantes au fond de petits galets et graviers. Son comportement est essentiellement benthique. Son alimentation, est constituĂ©e principalement de diatomĂ©es raclĂ©es sur les substrats. La reproduction a lieu au printemps, elle semble ĂȘtre dĂ©clenchĂ©e par des tempĂ©ratures supĂ©rieurs Ă  8 Ă  9°C. La fĂ©conditĂ© est voisine de 40 000 ovules par kilo de femelle. Les oeufs sont dĂ©posĂ©s en masse sur le substrat sans aucune protection. La durĂ©e de l'incubation peut varier de 5 jours pour une tempĂ©rature de 17°C Ă  23 jours pour une tempĂ©rature de 10° ET DISTRIBUTION La rĂ©partition et la colonisation du rĂ©seau hydrographique par le hotu ont Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©tudiĂ©es par Nelva-Pasqual 1985 qui a mis en Ă©vidence l'importance de la crĂ©ation des canaux au siĂšcle dernier. Actuellement cette espĂšce est prĂ©sente dans le bassin du Rhin, du RhĂŽne, de la Seine et de la Loire. Elle semble absente des cours d'eau bretons et normands ainsi que ceux du bassin de la Garonne et de l'Adour. Le hotu est trĂšs sensible au phĂ©nomĂšne de pollution ce qui peut expliquer sa rĂ©gression dans plusieurs rĂ©gions oĂč il avait eu tendance Ă  se dĂ©velopper d'une façon Il se pĂȘche au coup. C'est un poisson imprĂ©visible et il difficile de prĂ©voir s'il va mordre. La ligne doit ĂȘtre rĂ©glĂ©e pour que l'hameçon traĂźne au fond. Il mord parfois Ă  la cuiller tournante de petite taille. l'IDE MELANOTE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos lĂ©gĂšrement bombĂ© est vert-foncĂ©, les flancs sont plus clairs et argentĂ©s, et le ventre blanc. Les nageoires pectorales, pelviennes, et anale sont rosĂ©es. La bouche est Ă©troite, l'Ɠil est jaune, et les Ă©cailles sont petites 55 Ă  61 le long de la ligne latĂ©rale. L'Ide mĂ©lanote peut ĂȘtre confondue avec des gardons de grande taille. Taille de 30 Ă  L'Ide mĂ©lanote frĂ©quente les eaux courantes ou stagnantes, fraĂźches, claires et peu profondes. En pĂ©riode de fraie Avril-Juin, Les ides, qui vivent en bancs, remontent le cours du fleuve pour frayer. Les ovules, 40 000 Ă  100 000par femelle sont pondus en eau peu profonde parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation. L'incubation dure 2 Ă  3 semaines, Les jeunes passeront ensuite un an dans les zones lentes du ET DISTRIBUTION L'Ide mĂ©lanote est rĂ©pandue dans les grands cours d'eau et les lacs de l'Europe centrale et orientale. En 1930, elle n'est pas considĂ©rĂ©e comme faisant partie de la faune Française, on ne la trouve qu'en pisciculture Anonyme, 1930, bien qu'elle soit signalĂ©e occasionnellement dans le Rhin, la Moselle, l'ILL coll. non datĂ© et la Somme Blanchard, 1866 ; Gehin, 1868 ; Gervais et Boulart, 1897. Gensoul en 1915 l'introduit dans la SaĂŽne. Spillmann 1961, situait son aire de rĂ©partition aux dĂ©partements du Nord et de l'Est de la France. GrĂ©goire 1983, signale sa prĂ©sence en Loire-Atlantique. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE Prise rare sur des lignes pour la carpe. la LOTE FRANCHE DESCRIPTION Le corps est cylindrique, le dos et les flancs sont gris-brun avec des marbrures sombres ; le ventre est blanc; les nageoires dorsale et caudale ont des rangĂ©es de points noirs. La tĂȘte est aplatie dorso-ventralement, la bouche est infĂšre avec 6 barbillons sur la lĂšvre supĂ©rieure, la narine antĂ©rieure est tubulaire. Taille de 8 Ă  18 La loche franche est une espĂšce d'accompagnement de la truite. Poisson sĂ©dentaire benthique, et Ă  activitĂ© essentiellement nocturne, elle vit prĂ©s des rives dans les cours d'eau et les lacs clairs Ă  fond graveleux. La reproduction a lieu en avril-mai parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux courantes. Les deux sexes arborent alors un tubercule nuptial sur la face interne des nageoires pelviennes. Les oeufs 500 000 Ă  800 000par femelle adhĂšrent aux pierres et sont gardĂ©s par le ET DISTRIBUTION En 1961, elle ne semblait pas frĂ©quenter les fleuves cĂŽtiers mĂ©diterranĂ©ens Spillmann, 1961 ; aujourd'hui elle semble plus largement Comme pour la loche de riviĂšre, sa capture est rare. Elle sert comme vif. le ROTENGLE DESCRIPTION Le corps est comprimĂ© latĂ©ralement, le dos bombĂ© est brun-vert, les flancs sont cuivrĂ©s, le ventre argentĂ©. Les nageoires dorsale, anale, et pelviennes sont rouges. La nageoire dorsale prend naissance en arriĂšre des pelviennes. La bouche est Ă©troite et oblique. Les Ă©cailles sont grandes 40 Ă  43 le long de la ligne latĂ©rale. Ses yeux Ă  reflets dorĂ©s le distingue du gardon. Taille de 15 Ă  45 cm. Poids 300 grs Ă  1,8 kgsBIOLOGIE Le rotengle vit dans les eaux calmes Ă  fond boueux. La reproduction a lieu d'avril Ă  juin parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation qui borde le rivage. Les oeufs 90000 Ă  200 000 par femelle incubent pendant 8 Ă  15 jours. Les rotengles nagent souvent en bancs prĂ©s de la ET DISTRIBUTION Autochtone en France, Spillmann 1961 le signalait comme absent du sud-est il semble maintenant y avoir colonisĂ© les retenues hydroĂ©lectriques Ă  la suite de Le rotengle, parfois confondu avec le gardon, se prend parfois en pĂȘchant ce dernier. C'est un poisson mĂ©fiant d'eaux calmes. A la diffĂ©rence du gardon, il se nourrit entre deux eaux et en surface. Il se pĂȘche au coup Ă  la ligne flottante, au Buldo en Ă©tang et Ă  la mouche avec de petites mouches Ă  ablettes. la TANCHE DESCRIPTION Le corps est trapu, le dos vert-brun, les flancs plus clairs ont des reflets cuivrĂ©s, le ventre est blanc-jaune. Un petit barbillon est disposĂ© de chaque cĂŽtĂ© de la bouche. Les Ă©cailles, profondĂ©ment incrustĂ©es dans l'Ă©piderme, sont petites 95 Ă  110 le long de la ligne latĂ©rale. Les nageoires sont arrondies, chez les mĂąles les nageoires pelviennes plus longues ont un deuxiĂšme rayon plus Ă©pais. Chez les femelles les pelviennes n'atteignent pas l'orifice uro-gĂ©nital. Taille de 20 Ă  65 cm Poids 200/400 grs jusqu'Ă  4 La tanche frĂ©quente les cours d'eau lents et les Ă©tangs peu profonds Ă  la vĂ©gĂ©tation abondante. la pĂ©riode de reproduction est situĂ©e entre les mois de mai et de juillet. Les oeufs 250 000 Ă  800 000 par femelle, fixĂ©s Ă  la vĂ©gĂ©tation, incubent 5 Ă  8 jours selon la tempĂ©rature. A l'Ă©closion, les alevins dotĂ©s d'un organe adhĂ©sif sur la tĂȘte se fixent sur les plantes jusqu'Ă  la rĂ©sorption du sac vitellin. C'est un poisson solitaire et actif Ă  la tombĂ©e de la ET DISTRIBUTION La tanche, espĂšce autochtone, est rĂ©pandue dans toute la France ; elle serait moins commune dans la Loire Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961 et absente des Alpes maritimes Kiener, 1985. Elle fut introduite dans les lacs PyrĂ©nĂ©ens entre 1956 et 1957 Chimitz, 1960. le TOXOSTOME DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos vert-noir, les flancs argentĂ©s et le ventre blanc. Les nageoires pectorales, pelviennes et anale sont oranges, les nageoires dorsale et caudale sombres. Le museau est court et mousse, la bouche infĂšre et arquĂ©e possĂšde une lĂšvre infĂ©rieure cornĂ©e. On dĂ©nombre 50 Ă  57 Ă©cailles le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 15 Ă  En pĂ©riode de fraie mars-mai le Toxostome prĂ©sente une bande longitudinale sombre allant de la tĂȘte Ă  la queue moins visible en pĂ©riode normale. La reproduction a lieu sur les graviers et les pierres dans les eaux rapides. Les adultes prĂȘts Ă  frayer remontent les petits affluents Ă  la recherche des zones Ă  fort courant. Il se nourrit de petits invertĂ©brĂ©s et d'algues qu'il broute sur les ET DISTRIBUTION Le Toxostome est autochtone des bassins du RhĂŽne, de la Garonne et de l'Adour Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. Il colonise le bassin de la Loire Ă  la mĂȘme Ă©poque que le Hotu Gensoul, 1908 ; Roy, 1952. La pullulation de ce dernier aurait entraĂźnĂ© la rarĂ©faction du Toxostome dans la SaĂŽne Paris, 1932. le VAIRON DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est gris-vert avec des raies transversales foncĂ©es, les flancs sont argentĂ©s, le ventre blanc. Les Ă©cailles sont petites 80 Ă  90 dans une ligne longitudinale. La ligne latĂ©rale est gĂ©nĂ©ralement interrompue dans la partie postĂ©rieure. Taille de 7 Ă  14 cm. BIOLOGIE Le vairon, espĂšce d'accompagnement de la truite, frĂ©quente les cours d'eau et les lacs clairs oxygĂ©nĂ©s Ă  fond graveleux. La pĂ©riode de reproduction s'Ă©tend de mai Ă  juillet. Le mĂąle prend alors une teinte plus sombre, un ventre rouge, et il se pare ainsi que la femelle de tubercules nuptiaux. Ils se reproduisent en bancs sur les pierres et les graviers 200 Ă  1 000 ovules par femelle. L'incubation dure 5 Ă  10 jours et la maturitĂ© est atteinte Ă  l'Ăąge de 2 Ă  3 ans. Le vairon se nourrit d'invertĂ©brĂ©s benthiques et de vĂ©gĂ©taux. ORIGINE ET DISTRIBUTION Autochtone dans toute la France, Spillmann 1961 considĂ©rait qu'il Ă©tait moins frĂ©quent dans le bassin mĂ©diterranĂ©en, ce qui ne semble pas ĂȘtre confirmĂ©e Ă  la suite de cet Il est trĂšs recherchĂ© par les pĂȘcheurs de truite pour servir d'esche. Il se pĂȘche au coup trĂšs facilement. la VANDOISE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est sombre Ă  reflets vert-bleu, les flancs jaune-argentĂ©, le ventre blanc. Les nageoires pelviennes et pectorales sont jaune-orangĂ©; les Ă©cailles sont grandes 47 Ă  55 le long de la ligne latĂ©rale. La nageoire dorsale porte 10 Ă  11 rayons. Il existe diffĂ©rents "types morphologiques" ainsi dans le sud-ouest, il existe une variĂ©tĂ© particuliĂšre la "Vandoise rostrĂ©e" Leuciscus leuciscus burdigalensis. Sa silhouette est plus Ă©lancĂ©e, le museau est pointu, et les lĂšvres Ă©paisses. Taille de 15 Ă  30cm. Poids 150 Ă  200 grs jusqu'Ă  1 La vandoise commune Leuciscus leuciscus se rencontre essentiellement dans les cours d'eau rapides Ă  fond sablonneux ou graveleux. La reproduction a lieu de mars Ă  mai parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation. Les mĂąles sont alors ornĂ©s de petits tubercules nuptiaux sur tout le corps. Les oeufs 15 000 Ă  30 000 par femelle adhĂšrent au substrat. La vandoise est un poisson grĂ©gaire qui nage prĂšs de la ET DISTRIBUTION Elle est commune dans la plupart des rĂ©gions françaises et plus rare dans le sud-ouest et le sud-est Blanchard, 1866 ; Roule, 1904 ; Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. PrĂ©sente dans la Durance au dĂ©but du siĂšcle Caillol, 1913, elle n' y est plus signalĂ©e. La vandoise rostrĂ©e L. l. burdigalensis est mĂ©ridionale, elle semble remplacer la vandoise commune dans les bassins de la Garonne Dordogne et Gironde comprises, et de l'Adour Moreau, 1881; Roule, 1925 ; Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. Dans ces rĂ©gions, les deux sous espĂšces sont souvent confondues. La vandoise rostrĂ©e est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE Elle se pĂȘche au coup et Ă  la mouche. Amusant Ă  capturer pour sa vivacitĂ© et sa dĂ©fense qui s'apparente Ă  celle des salmonidĂ©s. LES CARNASSIERS le BLACK BASS DESCRIPTION Le black-bass Ă  grande bouche a une forme allongĂ©e et trapue. La nageoire dorsale est presque complĂštement sĂ©parĂ©e en deux. parties distinctes. Les nageoires pelviennes sont insĂ©rĂ©es Ă  l'aplomb des nageoires pectorales La bouche est grande, la mĂąchoire supĂ©rieure dĂ©passe le bord postĂ©rieur de l'Ɠil. L'opercule est recouvert d'Ă©cailles, son bord libre se termine par une pointe molle. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est vert bronze, le ventre est blanc. Taille Elle peut atteindre 30 Ă  80 Il frĂ©quente les milieux aquatiques de plaine, riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction a lieu au printemps lorsque la tempĂ©rature de l'eau atteint environ 15 Ă 18°C. La fĂ©condation et l'incubation des oeufs se dĂ©roulent sur un nid prĂ©parĂ© par un des parents le mĂąle, et qui en assure seul une protection farouche. Cette pĂ©riode de protection s'Ă©tend encore pendant 2 Ă  3 semaines aprĂšs l'Ă©closion. La fĂ©conditĂ© est moyenne de 4000 Ă  plus de 10000 ovules par kg de femelle. La pĂ©riode d'incubation est variable suivant la tempĂ©rature de 85 Ă  105 degrĂ©s/jours Wurtz-Arlet, 1952. La croissance est plus ou moins rapide suivant les conditions thermiques, elle peut ĂȘtre trĂšs importante dĂšs la premiĂšre annĂ©e Allardi, 1973. Le rĂ©gime alimentaire, aprĂšs un stade zooplanctonophage devient strictement carnassier et ichtyophage. ORIGINE ET DISTRIBUTION Originaire du continent nord amĂ©ricain le black-bass Ă  grande bouche a Ă©tĂ© introduit en Grande-Bretagne en 1878-1879 Anonyme, 1898, puis en 1883 aux Pays-Bas et en Allemagne. Sa reproduction en France est rĂ©ussie pour la premiĂšre fois en 1890 Bertrand, 1890 dans un Ă©tang de la rĂ©gion de Versailles. Il est ensuite transfĂ©rĂ© dans les Ă©tangs en Sologne Wurtz-Arlet, 1952. La rĂ©partition actuelle est trĂšs morcelĂ©e et sensiblement mĂ©ridionale. Il ne semble pas que ce poisson soit en phase d'expansion. PÊCHE Il se pĂȘche avec des leurres de toutes sortes au lancer comme Ă  la mouche. Il s'alimente surtout en surface ou Ă  faible profondeur. Le black-bass chasse Ă  l'affĂ»t. Si il est en activitĂ© du printemps Ă  l'automne, c'est surtout en Ă©tĂ© qu'il est le plus mordant. TrĂšs agressif il reste toujours mĂ©fiant, lunatique comme tout carnassier. Il est cĂ©lĂšbre pour sa dĂ©fense. Ne jamais le pĂȘcher sous 22/100e le BROCHET DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est brun-vert, les flancs plus clairs possĂšdent des bandes transversales, et le ventre est blanc-jaune. Les nageoires portent des macules sombres. Les jeunes ont souvent une teinte vert-pĂąle. La nageoire dorsale est trĂšs en arriĂšre. La tĂȘte et le museau sont larges et aplatis, la mĂąchoire infĂ©rieure est proĂ©minente. La langue , l'os palatin et les deux mĂąchoires possĂšdent de trĂšs fortes dents. Taille de 50 Ă  150 cm. BIOLOGIE Le brochet prĂ©fĂšre les eaux claires Ă  fond graveleux et aux berges riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction se dĂ©roule de fĂ©vrier Ă  mai, les ovules 30000 Ă  60000 par femelle sont pondus en eau peu profonde parmi la vĂ©gĂ©tation ou dans l'herbe des prairies inondĂ©es. L'incubation dure de 2 Ă  4 semaines. Les alevins possĂšdent pendant 2 Ă  3 semaines un organe adhĂ©sif sur la tĂȘte qui leur permet de se fixer Ă  la vĂ©gĂ©tation. La maturitĂ© est atteinte gĂ©nĂ©ralement Ă  l'Ăąge de 3 Ă  4 ET DISTRIBUTION Le brochet est une espĂšce indigĂšne de nos douces. Dans la premiĂšre moitiĂ© du 20Ăšme, il est commun dans la France entiĂšre Ă  l'exception toutefois des PyrĂ©nĂ©es orientales, du Var, des Alpes maritimes, et des fleuves cĂŽtiers mĂ©diterranĂ©ens Moreau, 1881; Spillmann, 1961; Morruzzi, 1975 ; GrĂ©goire, 1983. Il a Ă©tĂ© introduit dans les Vosges lacs de Longemer, Retoumemer, Gerardemer et rĂ©introduit en 1934 dans le lac d'Annecy Hubault, 1955. AprĂšs la premiĂšre guerre mondiale, la pĂȘche abusive des brochetons et les Ă©pidĂ©mies provoquent une nette rĂ©gression du brochet Brou, 1953 ; Chimits, 1956 Spillmann, 1961 ; s'en suivirent alors les premiers rempoissonnements en vue du repeuplement et du dĂ©veloppement de la pĂȘche sportive Chimits, 1947b. Son aire de rĂ©partition s'Ă©tend ainsi progressivement aux dĂ©partements mĂ©diterranĂ©ens. Bien que le brochet soit prĂ©sent sur l'ensemble du territoire, la disparition plus ou moins complĂšte de ses zones de reproduction zones inondables, prairies humides... mettent en danger la survie de l'espĂšce. Le brochet est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE La pĂȘche au vif est certainement la plus rĂ©pandue mais ce carnassier cĂ©lĂšbre peut-ĂȘtre Ă©galement capturĂ© au "poisson mort maniĂ©", au lancer et Ă  la mouche streamer la PERCHE DESCRIPTION Le corps est haut, le dos est gris-vert, les flancs plus clairs portent 6 Ă  9 bandes transversales sombres et le ventre est blanc-rouge. En gĂ©nĂ©ral le mĂąle a des couleurs plus vives. Les nageoires pelviennes et anale sont rouges. Les deux nageoires dorsales sont sĂ©parĂ©es, la premiĂšre porte une tĂąche noire et 13 Ă  16 rayons Ă©pineux, la seconde 1 Ă  2 rayons Ă©pineux et 13 Ă  16 rayons branchus. Le bord antĂ©rieur de l'opercule forme un aiguillon. Taille de 20 Ă  50 cm. Poids 200/300 grs jusqu'Ă  4,8 La perche est susceptible d'ĂȘtre rencontrĂ©e dans toutes les eaux libres et stagnantes Ă  une altitude infĂ©rieure Ă  1000 m. La fraie Ă  lieu d'avril Ă  juin, les ovules 1,5 Ă  2 mm sont dĂ©posĂ©s en longs rubans gĂ©latineux dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. L'incubation dure de 15 Ă  20 jours. Les jeunes vivent en bancs alors que les adultes sont plutĂŽt ET DISTRIBUTION La perche est autochtone dans le nord de la France, elle s'est Ă©tendue ensuite vers le sud et l'ouest Ă  la faveur des canaux elle a notamment colonisĂ© l'HĂ©rault par le canal du midi Moreau, 1881 puis le bassin de la Garonne Spillmann, 1961. Elle semble actuellement absente du C'est l'un des poissons les plus recherchĂ©s en eau douce. La perche commune se pĂȘche au coup et au lancer. Il est frĂ©quent de rĂ©aliser des captures groupĂ©es du fait qu'elle vit en bancs. Elle mord Ă©galement bien Ă  la mouche petits streamers verts, noirs et oranges. le SANDRE DESCRIPTION Le corps est Ă©lancĂ© et la tĂȘte allongĂ©e. La bouche est assez largement fendue et prĂ©sente une dentition fortement dĂ©veloppĂ©e. Les deux nageoires dorsales sont sĂ©parĂ©es par un faible espace, elles prĂ©sentent des taches noires en bandes horizontales. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est gris verdĂątre pour la partie dorsale, avec des bandes verticales foncĂ©es. Le ventre est blanc. Taille 30/60 cm ; rare 1,30 m Poids jusqu'Ă  15 Le sandre frĂ©quente les grands cours d'eau ainsi que les eaux calmes lacs, Ă©tangs et rĂ©servoirs. Sa reproduction a lieu du mois d'avril au mois de juin, lorsque la tempĂ©rature de l'eau est voisine de 15°C. La ponte a lieu sur un nid, protĂ©gĂ© pendant la pĂ©riode d'incubation 10 Ă  15 jours, par le mĂąle. La fĂ©conditĂ© est Ă©levĂ©e environ 200 000 ovules par kilo de femelle. Le rĂ©gime alimentaire est essentiellement ichtyophage, la taille des proies ingĂ©rĂ©es est limitĂ©e par la relative Ă©troitesse de l' ET DISTRIBUTION Le sandre est originaire de l'Europe centrale Lac Balaton, Hongrie, Sa premiĂšre capture dans le Rhin est signalĂ©e en 1888 Armengaud, 1962. En 1912, il passe dans le canal de la Marne au Rhin. Il est signalĂ© dans le Doubs en 1915 et dans la SaĂŽne en 1920. Il atteint l'Ă©tang de VaccarĂšs en 1930. La maĂźtrise de la reproduction et du transport des pontes frayĂšres et boite Korchus Ă  partir de la pisciculture de SylvĂ©rĂ©al sont Ă  l'origine de son extension, par les sociĂ©tĂ©s de pĂȘche, Ă  l'ensemble du rĂ©seau Du fait de la rarĂ©faction du brochet, il devient un carnassier de plus en plus recherchĂ©. Mais les techniques de pĂȘche du sandre ne sont pas Ă©quivalentes Ă  celles employĂ©es pour le brochet. Il prĂ©fĂšre des vifs de petites tailles et il mord aux poissons morts reposant sur le fond. Il ne coupe pas le nylon avec sa dentition et permet l'usage de lignes sans avançons d'acier. DĂ©fense peu vigoureuse. le SILURE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, aplati latĂ©ralement dans sa partie postĂ©rieure. La tĂȘte, forte et large, est aplatie dorso-ventralement. La bouche largement ouverte est munie de 6 barbillons, 2 trĂšs dĂ©veloppĂ©s au dessus de la bouche, 4 plus petits en dessous. L'Ɠil est trĂšs petit. Il n'existe qu'une seule nageoire dorsale courte sans Ă©pine. La nageoire anale est trĂšs longue Ă  peine sĂ©parĂ©e de la caudale. La peau est nue, la coloration est assez variable souvent brun marbrĂ© sur le dos et les flancs. Le ventre est souvent plus clair. Taille Elle peut dĂ©passer 5 mĂštres actuellement 2,20 m en France. Poids jusqu'Ă  300 Le silure glane est le plus grand des carnassiers d'eau douce en France. Sa reproduction se dĂ©roule du mois de mai au mois de juin lorsque la tempĂ©rature de l'eau est proche de 20°C. La ponte a lieu dans un nid ouvert situĂ© prĂšs des berges, souvent dans les racines des arbres rivulaires. Le nid est protĂ©gĂ© pendant toute la pĂ©riode d'incubation par le mĂąle, qui abandonne sa protection lorsque les alevins nagent depuis environ 48 heures. La fĂ©conditĂ© est relativement peu Ă©levĂ©e voisine de 30000 ovules par kilo de femelle. Son rĂ©gime alimentaire est de type omnivore Ă©crevisse, batracien, poisson, oiseau, petit mammifĂšre et souvent ET DISTRIBUTION Longtemps considĂ©rĂ© comme autochtone, il Ă©tait signalĂ© dans le bassin du Rhin et exceptionnel dans celui du Doubs Ogerien, 1863 ; Moreau, 1881 ; Roule, 1925 Spillmann, 1961; Allardi, 1984. Des recherches rĂ©centes ont montrĂ© que le silure a Ă©tĂ© introduit dans le bassin du Doubs en 1857 par Benhot, Ă  partir de sujets Ă©levĂ©s Ă  la pisciculture de Huningue. Depuis la fin des annĂ©es soixante il a Ă©tĂ© introduit dans un affluent de la Seine d'oĂč il a pu coloniser le rĂ©seau de la SaĂŽne et du RhĂŽne. Des introductions volontaires sont Ă  l'origine de son extension Elle attire de plus en plus de pratiquants tout en restant une affaire de spĂ©cialistes, tant les techniques et le matĂ©riel utilisĂ©s sont spĂ©cifiques. Les cannes sont puissantes et Ă©quipĂ©es de gros moulinets Ă  tambour fixe avec du nylon 50/100 Ă  60/100 ou de tresses. Le silure est gĂ©nĂ©ralement pĂȘchĂ© d'une barque avec du vif de belle taille, au paquet de vers, Ă  la grande cuiller ondulante ou aux leurres souples gĂ©ants. Le silure se tient dans des zones profondes et calmes en automne et en hiver et sur des zones plus courantes avec des herbiers le reste de l'annĂ©e. Le combat est gĂ©nĂ©ralement trĂšs long 1 h. LES SALMONIDES la TRUITE ARC EN CIEL DESCRIPTION La truite arc-en-ciel a un corps fusiforme. La tĂȘte est relativement petite, la bouche est peu fendue, le maxillaire ne dĂ©passant pas le bord extĂ©rieur de l'Ɠil. le corps prĂ©sente sur les flancs une bande irisĂ©e caractĂ©ristique. Les nageoires dorsale et anale prĂ©sentent des ponctuations noires absentes chez la truite commune. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est trĂšs variable suivant les types de milieux et l'Ă©tat physiologique. En milieu lacustre ou marin le corps devient complĂštement argentĂ©, les individus reçoivent alors le nom de "truite Kamloops ou de truite Steelhead" Scott et Crossman, 1974. Taille Elle est variable suivant le cycle biologique. Les formes migratrices lacustres ou marines peuvent atteindre des tailles voisines de 80 cm. Les formes sĂ©dentaires sont plus La biologie de cette espĂšce a Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©tudiĂ©e, compte tenu de l'importance Ă©conomique qu'elle reprĂ©sente salmoniculture. Cependant son Ă©cologie reste encore peu connue dans notre pays, en particulier le succĂšs de sa reproduction naturelle est rarement signalĂ©. Dans son pays d'origine la reproduction est plus tardive que celle de la truite commune tempĂ©rature de 10 Ă  15°C. Les facteurs qui dĂ©clenchent le phĂ©nomĂšne migratoire Ă  l'intĂ©rieur d'une population ne sont Ă©galement pas ET DISTRIBUTION La truite arc-en-ciel est originaire de la cĂŽte ouest des États-Unis, les premiers essais d'introduction en France datent de 1884. Ces opĂ©rations ont Ă©tĂ© renforcĂ©es depuis la maĂźtrise de l'alimentation artificielle de cette espĂšce, technique qui a provoquĂ© le dĂ©veloppement rapide de son Ă©levage. Des travaux rĂ©cents Smith et Stearley, 1989 ont montrĂ© l'appartenance de la truite arc-en-ciel au genre Oncorhynchus, qui regroupe les salmonidĂ©s migrateurs ou non de la cĂŽte ouest des États-Unis, le genre Salmo Ă©tant rĂ©servĂ© aux salmonidĂ©s de la cĂŽte est. La rĂšgle de l'antĂ©rioritĂ© a fait attribuer le nom de mikiss Ă  la truite arc-en-ciel, ce nom ayant Ă©tĂ© attribuĂ© antĂ©rieurement Ă  la truite du Kamchatka. UtilisĂ©e pour le repeuplement, cette espĂšce est rĂ©pandue sur l'ensemble du territoire. la TRUITE FARIO DESCRIPTION La truite est une espĂšce trĂšs polymorphe dont les variations accompagnent souvent les changements d'habitats qu'est susceptible d'accomplir cette espĂšce. Le corps est fusiforme et Ă©lancĂ©, la tĂȘte est relativement grosse et la bouche est largement fendue, le maxillaire supĂ©rieur dĂ©passant nettement le bord postĂ©rieur de l'Ɠil. Le pĂ©dicule caudal est plus Ă©levĂ© que chez le saumon. Les mĂąchoires sont armĂ©es d'une rangĂ©e de dents coniques. La coloration de la robe et le patron des ponctuations varient avec l'Ăąge et le milieu de vie des individus. Il existe chez certaines truites une tendance naturelle Ă  se dĂ©placer vers des secteurs oĂč le volume d'eau est important Lac ou grande riviĂšre, lĂ , les individus perdent complĂštement leur robe tachetĂ©e pour prendre une parure trĂšs homogĂšne avec le dos souvent gris bleu et le ventre blanc. On retrouve cette coloration aussi bien chez la truite de mer que chez la truite de lac. Taille Elle est variable suivant le cycle biologique, les formes sĂ©dentaires Ă©tant plus petites 30 Ă  40 cm, les formes migratrices pouvant atteindre 1 La biologie de la truite rappelle par de nombreux aspects celle du saumon comportement de ponte, occupation du territoire, migration... Ces derniĂšres annĂ©es les formes migratrices ont plus particuliĂšrement Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es qu'il s'agisse de la truite de mer Fournel et al, 1985 ; Richard, 1986 ou de la truite de lac qui reprĂ©sentent une ressource importante. La migration en mer de la truite est beaucoup plus limitĂ©e dans l'espace que celle du saumon atlantique et il n'est pas rare de voir une truite se reproduire aprĂšs son premier Ă©tĂ© en mer type "finnock".ORIGINE ET DISTRIBUTION La truite est largement rĂ©pandue sur l'ensemble du territoire. Elle frĂ©quente aussi bien les cours d'eau de haute altitude que les lacs. En plaine le facteur le plus limitant de sa rĂ©partition est la tempĂ©rature plus que la qualitĂ© des eaux espĂšce d'eau fraĂźche. La truite de mer a bĂ©nĂ©ficiĂ© des programmes dĂ©veloppĂ©s pour le saumon atlantique et l'ouverture d'axes nouveaux profite particuliĂšrement Ă  cette espĂšce fleuves cĂŽtiers de la Manche Orne, Touques, Bresles. On a longtemps cru que la mer MĂ©diterranĂ©e Ă©tait trop salĂ©e pour abriter des salmonidĂ©s, il semble que depuis quelques annĂ©es la capture de truite y soit de plus en plus frĂ©quente Fabre et al, 1974. La truite Ă  grosses taches n'est pas prĂ©sente sur le continent, elle ne se rencontre qu'en Corse. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prises dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88. l' OMBLE DE FONTAINE Le saumon de fontaine, omble de fontaine ou truite mouchetĂ©e Salvelinus fontinalis est un poisson originaire d'AmĂ©rique du Nord qui a Ă©tĂ© introduit dans de nombreux pays tempĂ©rĂ©s. C'est un poisson d'eau vive, douce ou anadrome exigeant en oxygĂšne dissous. Les populations anadromes sont appelĂ©s truites bleu, en rĂ©fĂ©rence Ă  leurs coloration plus argentĂ©e qui contraste avec celle entiĂšrement d'eau douce. Souvent elles sont simplement appelĂ©e truite de mer ce qui prĂȘte Ă  confusion avec toutes les espĂšces de truites anadromes qui sont toutes respectivement appelĂ©es truites de mer dans leur environnement respectif .... Conseilspour reconnaitre facilement une carpe koi d’un poisson rouge Il n’est pas toujours facile de les diffĂ©rencier. Une carpe mĂąle est de forme allongĂ©e tandis que la femelle est plus large au niveau du ventre. Les femelles ont une ouverture gĂ©nitale en forme de T, les mĂąles en forme de I (trĂšs schĂ©matique).

ÉlĂ©gants, colorĂ©s et incroyablement uniques, ce ne sont lĂ  que quelques-unes des caractĂ©ristiques qui caractĂ©risent le plus les poissons Combattant femelle ou le poisson Betta Splendens femelle, mais quelles sont leurs caractĂ©ristiques ? comment peut-on les diffĂ©rencier d'un poisson Combattant mĂąle ? Ces questions et bien d'autres seront rĂ©solues dans cet article de PlanĂšteAnimal, dans lequel nous montrerons les caractĂ©ristiques physiques et comportementales du poisson Combattant femelle, ainsi que toutes les techniques pour savoir comment reconnaĂźtre le poisson Combattant mĂąle ou femelle. Le poisson Betta Splendems, populairement connu sous le nom de poisson Siam ou poisson Combattant appartenant Ă  la famille des Anabantidae, se distingue Ă©galement comme l'un des poissons les plus agressifs, tant avec des poissons de la mĂȘme espĂšce qu'avec des poissons d'autres espĂšces diffĂ©rentes. Par consĂ©quent, il est essentiel de connaĂźtre leurs soins, leurs besoins, leur cohabitation dans l'aquarium pour profiter d'un animal heureux et sans stress. Et pour cela, la premiĂšre chose Ă  faire est de choisir le sexe qu'aura votre poisson Combattant, alors continuez Ă  lire et dĂ©couvrez tout sur le Poisson combattant femelle et ses caractĂ©ristiques. Index Poisson combattant femelle Types de poisson Combattant femelle Poisson Combattant, mĂąle ou femelle comment les reconnaĂźtre ? Poisson combattant femelle Jusqu'Ă  ce que la maturitĂ© sexuelle soit atteinte, il est extrĂȘmement difficile de savoir si un poisson Betta ou poisson Combattant est mĂąle ou femelle. Cependant, une fois obtenues, les diffĂ©rences entre elles sont vraiment visibles et un poisson Combattant est facilement poisson Combattant femelle, un physique particulierLe poisson Combattant femelle appartient Ă  la famille des Belontiidae et vit principalement au Cambodge ou en ThaĂŻlande. Le Betta femelle mesure 5 centimĂštres, alors que le poisson Combattant est plus grand, 7 centimĂštres. Le poisson Combattant femelle est Ă©galement poisson Combattant mĂąle est plus volumineux que le poisson Combattant femelle. Le poisson Combattant femelle est ainsi plus mince, a un corps plus couleurs du poisson Combattant femelle ont tendance Ă  ĂȘtre plus ternes et plus discrĂštes, passant beaucoup plus inaperçues que les tons brillants et relevĂ©s des mĂąles. De mĂȘme, bien que les nageoires du poisson Combattant femelle prĂ©sente les mĂȘmes caractĂ©ristiques que celles du poisson Combattant mĂąle en termes de forme, comme la prĂ©sence de rayons dans la queue en couronne, diffĂšrent en taille. Ainsi, le poisson Combattant femelle a des nageoires caudales, anales et dorsales plus poisson Combattant femelle a Ă©galement une caractĂ©ristique bien prĂ©cise le tube ovipositeur, situĂ© au fond du poisson et oĂč les Ɠufs sont produits. Cette partie est prĂ©sentĂ©e Ă  l'Ɠil humain comme une tache ou un point blanc arrondi, situĂ© entre les nageoires ventrale et diffĂ©rentiel du poisson Combattant femelleEn gĂ©nĂ©ral, le poisson Combattant femelle a tendance Ă  ĂȘtre moins agressive que le poisson Combattant mĂąle et peut coexister dans le mĂȘme aquarium, Ă  condition que l'aquarium du poisson Combattant remplisse les conditions appropriĂ©es de taille et d'enrichissement environnemental. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne soit pas possible d'avoir quelques altercations entre eux en raison de problĂšmes hiĂ©rarchiques. Image Types de poisson Combattant femelle Bien que nous appelions habituellement tous les poissons Combattants par ce nom, la vĂ©ritĂ© est qu'il existe diffĂ©rents types, chacun avec une morphologie diffĂ©rente. Ainsi, afin de prĂ©ciser les caractĂ©ristiques du poisson Combattant femelle, il est important d'apprendre Ă  identifier le type de poisson Betta Splendens ou poisson Combattant que vous avez devant vous afin d'offrir les meilleurs soins. Actuellement, nous trouvons plus de 10 types de poisson Combattant femelle, cependant, les plus courants dans les aquariums sont les suivants Poisson Combattant Queue voilĂ©e ou Veil tail - C'est le poisson Combattant femelle le plus courant et se caractĂ©rise par une nageoire caudale en forme de Combattant Queue demi-lune ou Betta Halfmoon - Cest l'un des poissons Combattants les plus frappants, il a une spectaculaire nageoire caudale et dorsale arrondie qui, allongĂ©e, forme un rĂ© ou une demi-lune. GĂ©nĂ©ralement, ce poisson Combattant est bleu. Poisson Combattant Queue de couronne ou Betta Crowntail - Il se distingue des autres poissons Combattants ou Betta Splendens par les pointes ou les raies qu'on trouve sur ses nageoires et sa queue, crĂ©ant une image semblable Ă  celle d'une Combattant Double queue ou Betta double tail - MalgrĂ© son nom, ce poisson Combattant femelle prĂ©sente une seule queue mais a une nageoire caudale divisĂ©es en deux, simulant une "queue fendue" ou une"double queue". Le poisson Combattant est gĂ©nĂ©ralement rouge. Bien qu'il y ait tant d'espĂšces de poisson Combattant femelle, tous les mĂąles et toutes les femelles ont des caractĂ©ristiques physiques communes qui nous aident Ă  les diffĂ©rencier. Celles-ci sont illustrĂ©es ci-dessous. Si vous venez d'adopter un poisson Combattant femelle, nous vous offrons notre petit guide sur Les soins du Poisson Combattant de PlanĂšteAnimal. Poisson Combattant, mĂąle ou femelle comment les reconnaĂźtre ? En gĂ©nĂ©ral, diffĂ©rencier un poisson Combattant mĂąle ou femelle est une tĂąche simple, la complication se situe lorsque les deux poissons Combattants sont encore trĂšs jeunes. Il faudra donc attendre qu'ils atteignent la maturitĂ© sexuelle et ensuite regarder les couleurs des poissons et la taille de leurs Combattant mĂąle ou femelle, les traits physiques qui les diffĂ©rencientUne fois l'Ăąge adulte atteint, c'est-Ă -dire environ 2 mois, le poisson Combattant mĂąle, quel que soit le type auquel il appartient, est plus volumineux que la femelle, ce qui constitue la premiĂšre diffĂ©rence visible entre les reconnaĂźtre un poisson Combattant mĂąle ou femelle, observez la forme et la taille de leur nageoire. De mĂȘme, les nageoires dorsale, caudale et anale sont beaucoup plus voyantes que celles du poisson Combattant femelle, non seulement en taille mais aussi en couleur. De cette façon, le poisson Combattant mĂąle a tendance Ă  avoir des couleurs plus vives que le poisson Combattant femelle, comme gĂ©nĂ©ralement le rouge, le bleu et le vert mais ce ne sont pas les uniques couleurs du poisson Combattant !.Par contre, et bien que cette caractĂ©ristique soit plus difficile Ă  percevoir Ă  l'Ɠil nu, le poisson Combattant femelle et mĂąle possĂšde une membrane situĂ©e juste en dessous des branchies, d'un ton noir ou brun foncĂ©, appelĂ©e "barbe". Chez les mĂąles, cette barbe est beaucoup plus importante et on peut la voir lorsque le poisson est en mode dominant devant un autre poisson Combattant mĂąle. Chez le poisson Combattant femelle on le voit Ă  peine parce qu'il est plus petit et qu'il ne s'Ă©tend gĂ©nĂ©ralement Combattant mĂąle ou femelle, un comportement diffĂ©rentQuant Ă  la personnalitĂ© et au comportement du poisson Combattant ou Betta Splendens, le mĂąle a une attitude beaucoup plus agressive que la femelle face Ă  un autre mĂąle et ressent le besoin de se battre pour une ou plusieurs femelles du mĂȘme territoire. Par consĂ©quent, il n'est pas recommandĂ© de rejoindre plus d'un mĂąle dans le mĂȘme aquarium, car la cohabitation entre deux poissons Combattant mĂąle est trĂšs compliquĂ©e. De mĂȘme, si vous voulez Ă©lever un poisson Combattant femelle et un poisson Combattant mĂąle ensemble, vous ne devez pas joindre le mĂąle Ă  la femelle sans une prĂ©sentation appropriĂ©e, car le mĂąle pourrait l'attaquer de toute façon. Dans ce cas, l'idĂ©al est de sĂ©parer l'aquarium Ă  l'aide d'un verre, par exemple, et de placer les deux spĂ©cimens dans leurs parties respectives afin qu'ils puissent ĂȘtre observĂ©s sans se le poisson Combattant mĂąle se sent prĂȘt Ă  s'accoupler, il forme un nid de bulles qui attire la femelle et la parade nuptiale est lancĂ©e. La Betta femelle est alors prĂȘte Ă©galement Ă  la reproduction. Si vous voulez adopter un poisson Combattant femelle ou mĂąle, nous vous conseillons notre article sur la cohabitation du poisson Combattant. Voici une vidĂ©o de Nicolas DL pour savoir comment reconnaĂźtre un poisson combattant femelle d'un poisson combattant mĂąle Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables Ă  Poisson combattant femelle et ses caractĂ©ristiques, nous vous recommandons de consulter la section Ce que vous devez savoir. RĂ©fĂ©rences Betta Fish Anatomy External&Internal Explained. Betta Fish. Disponible en Splendens, Le poisson Combattant Fiche. Bibliographie ARBOLEDA OBREGÓN, D. A. 2006. Crianza y producciĂłn del Betta Betta splendens para acuaristas no profesionales. En Revista ElectrĂłnica de Veterinaria REDVET. V. VII, nÂș 4. ISSN 1695-7504. Disponible en ALVES, L. 2008. Efecto de la especie y el color de los oponentes en la agresividad de los machos de Betta splendens. Universidad de Las Palmas de Gran Canaria Facultad de Ciencias del Mar.

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